Lafon révèle sa borne de charge rapide multistandards Pulse QC 50 à eCarTec.

A l’occasion du salon eCarTec, dont l’édition 2013 a ouvert ses portes hier à Munich, LAFON Technologies a révélé sa nouvelle borne de charge rapide multistandards Pulse QC50.

Pour Emmanuel Ourry, Directeur Général de Lafon SAS, cette nouvelle borne doit permettre « de répondre au principal besoin des utilisateurs de véhicules électriques : la présence d’un large réseau de bornes de recharges électriques rapides, toujours fonctionnelles et compatibles avec leurs véhicules ».

Capable de recharger l’ensemble des véhicules électriques acceptant la charge rapide, la Pulse QC50 propose trois câbles, un premier pour les véhicules des grandes marques allemandes (Combo), un second pour les grandes marques japonaises (CHAdeMO) et un troisième en courant alternatif (AC) pour d’autres véhicules comme la Zoé ou la Smart. Délivrant jusqu’à 50 kW de puissance, elle permet de récupérer 80 % d’énergie en 20 minutes seulement, soit 30 km d’autonomie récupérée en 5 minutes.

UNE BORNE CONNECTÉE AVEC LE CLOUD PULSE

Comme toutes les autres bornes de la gamme Lafon, la Pulse QC 50 peut être connectée via le Cloud Lafon Pulse. Celui-ci gère les fonctions de géolocalisation et de réservation par smartphones grâce à une identification par QR Code.

Cette connexion au Cloud Pulse assure également, pour l’exploitant, un système de surveillance intelligent online, envoyant des alarmes prédictives à destination des agents de maintenance. Pour l’utilisateur, c’est l’assurance de trouver une borne fonctionnelle, en permanence.

Les premières livraisons de la Pulse 50 QC devraient intervenir d’ici la fin de l’année.

 

Différentes configurations sont proposées pour la Pulse QC 50, de un à trois connecteurs selon les besoins du client...

 

http://www.avem.fr/actualite-lafon-revele-sa-borne-de-charge-rapide-multistandards-pulse-qc-50-a-ecartec-4483.html

Tesla Model S – Un adaptateur pour la charge rapide CHAdeMO.

Aux USA, le constructeur californien Tesla Motors annonce la commercialisation prochaine d’un adaptateur CHAdeMO pour sa berline électrique Model S.

Proposé sur la boutique en ligne du constructeur d’ici la fin de l’année, cet accessoire permettra aux utilisateurs de pouvoir recharger leur Model S sur le réseau de bornes CHAdeMO. Selon Tesla, une heure de charge rapide en 50 kW sur une borne CHAdeMO permettra de récupérer environ 240 km d’autonomie.

Pour les Model S déjà compatibles avec le mode "superchargeur", il faudra débourser 1000 $ (750 €) pour cet adaptateur. Pour celles qui ne disposent pas de cette fonction, l’installation coûtera entre 2400 $ et 2 900 $ (1800 à 2100 €) et comprend l’adaptateur ainsi que l’activation du logiciel de charge rapide. A noter que l’option n’est pas disponible sur les Model S équipées de batteries 40 kWh.

Espérons que cet accessoire sera très bientôt proposé en Europe ce qui permettra aux propriétaires de Model S de profiter d’un réseau de plus de près de 1000 bornes rapides CHAdeMO…

Palo Alto équipe les maisons neuves de chargeurs pour voitures électriques.

(Relaxnews) - Au nord de la Silicon Valley californienne, la petite ville de Palo Alto se veut visionnaire en matière d'équipements. Son conseil municipal a voté à l'unanimité l?installation obligatoire de chargeurs de voitures électriques dans les nouvelles maisons de la ville.

La ville qui abrite la célèbre université de Stanford, mais aussi les sièges sociaux de Facebook et de Tesla, verra donc tous ses prochains logements dotés de câblages pouvant accueillir une station de recharge 240 volts. Cet équipement coûtera environ 200$ au constructeur pour chaque maison, une bagatelle lorsqu'on sait que l'installation de tels câblages après construction peut coûter plusieurs milliers de dollars.

Même avec la mise en place de ces câblages, l'installation d'une borne de recharge sera ensuite nécessaire pour pouvoir brancher son véhicule, mais elle sera aussi facile que celle d'un four dans une cuisine.

Selon la gazette Palo Alto Online, cette nouvelle règlementation, qui n'affectera que les nouvelles constructions de maisons, n'est qu'un premier pas. La municipalité aimerait aussi simplifier l?installation de bornes de recharge, ce qui ne sera pas pour déplaire à Tesla, l'entreprise de voitures électriques basée à Palo Alto.

Les Etats-Unis affichent la plus grande concentration de voitures électriques privées au monde. Selon Inside EVs, un blog qui recense les ventes mensuelles de ce type de véhicules aux Etats-Unis, 129.000 véhicules électriques se sont vendus dans le pays depuis 2010. Par contre, les voitures électriques ne représentent que 0,5% des voitures achetées chaque année au pays de l'Oncle Sam.

 

http://www.boursorama.com/actualites/palo-alto-equipe-les-maisons-neuves-de-chargeurs-pour-voitures-electriques-83e01c696b1e6dbe383fb6892c94b012

Espagne – Nissan va déployer 80 nouveaux chargeurs rapides d’ici fin 2013.

En Espagne, Nissan souhaite accélérer le déploiement d’un réseau de charge rapide et vient de présenter un nouveau plan dans lequel il prévoit l’installation de 80 nouvelles bornes d’ici fin 2013.

 

Sur ces 80 chargeurs, 30 seront déployés dans les stations-service Repsol suite à un accord signé entre le groupe Ibil et Nissan en 2012. A l’heure actuelle, 13 chargeurs sont déjà opérationnels au sein du réseau Repsol (photo ci-contre).

 

Les points de charge rapide restants seront situés au sein des concessions Nissan. Huit ont d’ores et déjà été installés et 63 autres seront mis en place progressivement jusqu'à la fin de l'année.

 

Grâce à ces nouvelles installations, le nombre total de bornes rapides déployées par Nissan en Espagne devrait dépasser la centaine d’ici la fin de l’année.

 

UN APPEL À LA MOBILISATION DES POUVOIRS PUBLICS ESPAGNOLS.

 

Fortement impliqué dans le développement de la mobilité Zéro Emission en Espagne, Nissan appelle le gouvernement à jouer son rôle dans la promotion et le développement de la mobilité électrique.

 

« Nissan mobilise d’importantes ressources pour favoriser la mobilité zéro émission en Espagne. C'est une solution pour améliorer la qualité de l'air dans nos villes, pour combattre le changement climatique et pour redynamiser l'un des moteurs économiques les plus importants de notre pays, l'industrie automobile. Toutefois, les administrations publiques doivent aussi participer pleinement afin qu'ensemble la mobilité durable devienne une réalité » précise Javier Redondo, Directeur du programme Zéro Emission de Nissan en Espagne, incitant le gouvernement espagnol à suivre l’exemple de pays comme la Norvège où de nombreuses incitations à l’usage du véhicule électrique ont été mises en place.

 

Javier Redondo appelle également le gouvernement à revoir et relancer sa « stratégie pour le développement du véhicule électrique », un plan présenté par les autorités en 2010 et qui prévoyait 250 000 voitures électriques et hybrides rechargeables sur le territoire d’ici 2014…

 

Posté le 09/10/2013 à 09:00 par Michaël TORREGROSSA

 

http://www.avem.fr/actualite-espagne-nissan-va-deployer-80-nouveaux-chargeurs-rapides-d-ici-fin-2013-4465.html

Charge rapide – ABB obtient la certification CE pour sa borne multistandards.

Charge rapide – ABB obtient la certification CE pour sa borne multistandards
ABB vient d’annoncer avoir obtenu le marquage CE pour sa borne de charge rapide multistandards Terra 53 qui vient attester du respect des normes techniques européennes.

"ABB est le premier fournisseur de charge rapide DC CCS à passer la certification CE (…) le système Terra 53 est en totale conformité avec les directives en matière de compatibilité électromagnétique et de normes basse tension destinées à assurer la sécurité du matériel et des usagers" souligne le communiqué d’ABB. 

La borne Terra 53 propose différentes configurations et peut accueillir jusqu’à trois connecteurs : CCS (DC), CHAdeMO (DC) et type 2, mode 3 (AC).

CCS – DES TESTS D’INTEROPÉRABILITÉ AVEC LES CONSTRUCTEURS 

Pour valider l’intégration du nouveau standard CCS à sa borne, ABB a récemment participé à différents ateliers organisés par les constructeurs allemands BMW et Volkswagen. 

Plus récemment, la borne ABB était présentée sur le stand BMW à Francfort pour démontrer les capacités de charge rapide de la nouvelle i3.

 

http://www.avem.fr/actualite-charge-rapide-abb-obtient-la-certification-ce-pour-sa-borne-multistandards-4443.html

Mennekes va livrer 800 points de charge à Oslo.

En Norvège, l’équipementier allemand Mennekes célèbre son entrée sur le marché scandinave en remportant un marché important avec la municipalité d’Oslo pour la fourniture de 800 points de charge.

Mennekes sera ainsi l’unique fournisseur de Sonnico et Salto, les deux opérateurs qui seront chargés de la gestion de ces bornes dans la capitale norvégienne. 

Au total, 400 bornes seront ainsi fournies par Mennekes et les premières installations débuteront au mois de novembre. Chaque borne comportera deux points de charge de 3.7 kW, soit un total de 800 points de charge, et un affichage LED permettra de connaitre facilement son état de fonctionnement. L’accès aux bornes s’effectuera via un badge RFID et le personnel chargé des opérations de maintenance et d’installation sera spécialement formé par Mennekes en Allemagne.

"Cette commande est une victoire importante pour toute notre équipe et confirme que nous sommes sur la bonne voix avec nos infrastructures de charge" se félicite Volker Lazzaro, Directeur Général de Mennekes "L’électro-mobilité est un investissement à long terme et nous y voyons de grandes opportunités. Le projet remporté à Oslo en est un bel exemple…" 

Facture/énergie : 1400 euros en moyenne.

Par AFP - Mis à jour le 19/09/2013 à 14:14 - Publié le 19/09/2013 à 14:13


La facture énergétique des Français a atteint une moyenne de 1403 euros en 2012, mais seulement 12% des ménages interrogés ont fait des travaux pour essayer d'en réduire le coût, selon une enquête de l'Ademe aujourd'hui.

Au moment où le gouvernement a officiellement lancé son plan d'aide à la rénovation des logements, ce sondage annuel TNS Sofres réalisé avec 10 000 ménages, montre la préoccupation grandissante concernant les dépenses liées à l'énergie : 50% des personnes interrogées estiment que c'est une part trop importante de leur budget (43% en 2006).

Selon l'Ademe, la facture moyenne (toutes énergies confondues) s'est élevée en 2012 à 1 403 euros par ménage, contre 1 239 en 2007. Les dépenses de gaz sont celles qui ont le plus augmenté (879 euros en 2012 contre 640 euros en 2007), relève l'Agence de l'énergie et la maitrise de l'énergie.

Dans ce contexte, 80% des ménages cherchent à réduire leur consommation d'énergie, via notamment des comportements plus économes (éclairage, chauffage). Une petite partie a affiché son intention de réaliser des travaux : 16% des ménages interrogés contre 18% en 2011.

 

Charge rapide & Directive Européenne – CHAdeMO prône l’installation de chargeurs multistandards.

Tandis que les travaux sur la future Directive Européenne se poursuivent, l’association CHAdeMO Europe réagit à la suggestion de cet été d’interrompre l’installation de chargeurs rapide CHAdeMO à compter du 31 décembre 2018 et prône l’adoption de chargeurs rapides multistandards.

"Une période de cinq ans n’est pas suffisante pour convaincre les investisseurs de supporter CHAdeMO sur le long terme" précise CHAdeMO qui craint que cette proposition vienne à créer une confusion sur l’avenir des infrastructures déjà déployées (820 chargeurs CHAdeMO en Europe) et fasse "caler" le marché du VE en Europe.

CHARGEURS RAPIDES MULTISTANDARDS – LA VOIE À SUIVRE

 

"L'industrie est alignée sur le principe que les chargeurs à double standard doivent être la voie à suivre " indique le communiqué de CHAdeMO, soulignant que "des équipementiers comme ABB, EVTEC ou DBT sont déjà en train d’installer des chargeurs multistandards dans des pays comme la Norvège ou la Suisse. Aux Pays-Bas, l’opérateur Fastned s’apprête à déployer un réseau national constitué de 200 chargeurs multistandards le long des autoroutes".

Conformes à différentes normes, dont CHAdeMO, ces chargeurs rapides seraient capable d’accueillir les quelques 30 000 VE CHAdeMO compatibles actuellement tout en ayant la capacité de recharger les futurs VE équipés du nouveau standard Combo CCS, un système de charge rapide DC porté par les constructeurs allemands et américains. 

"Pour les investisseurs, ce principe de double standard s’avère être une bonne solution et leur permettra de recouvrer leurs coûts plus rapidement (…) tout en apportant aux utilisateurs de VE un service optimal " souligne CHAdeMO qui espère que l’Europe reverra son positionnement lors de la publication officielle de la Directive…

Charge rapide – Nissan poursuit l’équipement des autoroutes anglaises.

En Angleterre, Nissan et le fournisseur d’énergie Ecotricity continuent de mailler le territoire et viennent d’installer 13 nouvelles bornes de charge rapide au sein des aires de service Welcome Break le long des autoroutes anglaises.

En tenant compte des installations réalisées depuis le début de l’année, ce sont au total 16 bornes rapides qui ont été déployées dans les aires Welcome Break, portant à 97 le nombre global de bornes rapides installées par Nissan aux Royaume-Uni.

"Nissan travaille dur pour rendre la mobilité électrique accessible à tous les conducteurs" commente Jim Wright, Directeur Général de Nissan UK. 

150 BORNES RAPIDES D’ICI AVRIL 2014

A ce jour, Nissan a déployé 97 bornes de charge rapide au Royaume-Uni en collaboration avec différents partenaires dont Welcome Break.

D’ici avril 2014, Nissan ambitionne de voir 150 bornes rapides déployées sur le territoire. Un maillage dont l’objectif est de permettre au constructeur de dynamiser les ventes de la nouvelle Leaf dont la production européenne est désormais assurée en Angleterre, à Sunderland…

 

http://www.avem.fr/actualite-charge-rapide-nissan-poursuit-l-equipement-des-autoroutes-anglaises-4314.html

Charge rapide – 200 000 bornes dans le monde d’ici 2020 ?

Selon les estimations d'IHS, 200 000 bornes rapides seront déployées sur la surface du globe en 2020. Selon une nouvelle étude publiée par IHS, le nombre de bornes de charge rapide devrait augmenter très rapidement dans les années à venir et s’approcher des 200 000 unités déployées dans le monde d’ici 2020. 

"Le temps de charge demeure l’un des freins majeurs à l’adoption massive des véhicules électriques " souligne Alastair Hayfield, directeur associé d’IHS Automotive. "Comparativement au temps nécessaire pour réaliser un plein d’un véhicule thermique, la recharge est incroyablement longue sur une VE (…). Si les constructeurs pouvaient outrepasser cet obstacle, il pourrait y avoir une très forte adoption des utilisateurs. C’est ici que les chargeurs rapides interviennent…" poursuit-il.

LE JAPON EN TÊTE DU DÉPLOIEMENT

Porteur du protocole CHAdeMO, le Japon est à ce jour le pays le plus avancé dans l’installation de bornes de charge rapide, un déploiement qu’il a initié dès 2009. A ce jour, le pays compte 2 445 bornes opérationnelles et un consortium, mené par différents constructeurs, souhaite en mettre en place 12 000 supplémentaires dans les années à venir (voir news précédente).

En Europe, le déploiement a été beaucoup plus tardif et CHAdeMO annonçait avoir déployé 600 bornes rapides à la fin 2012. Un déploiement en grande partie poussé par Nissan qui a fait de la charge rapide l’un des axes clés de sa stratégie "zéro émission" et a conclu plusieurs dizaines de partenariats à travers le vieux continent. 

CHADEMO VS COMBO CCS - LA BATAILLE DES STANDARDS

Premiers à établir un standard, les japonais doivent maintenant faire face à la riposte des constructeurs américains et européens qui ont récemment lancé leur propre standard, le Combo CSS, qui équipera notamment la BMW i3 d’ici la fin de l’année. Tandis que le CHAdeMO requiert une prise dédiée côté voiture, le standard CCS se connecte sur la même prise que pour la recharge classique.

Massivement adopté par les constructeurs allemands (BMW, Audi, Daimler, Volkswagen…), le CCS est en passe de devenir le futur standard européen puisque le parlement européen, dans une proposition d’amendement publiée cet été, préconise de cesser l’installation de bornes rapides CHAdeMO à compter du 31 décembre 2018. Une mesure, qui doit encore être officiellement approuvée mais qui jouerait en faveur du Combo CCS.

En attendant, les japonais ne comptent pas s’avouer vaincus et continuent l’installation de leurs bornes rapides CHAdeMO. De fait, il est encore difficile à ce jour de définir quel standard remportera la bataille à l’échelle planétaire. A moins de trouver une solution commune où standards CHAdeMO et CCS cohabiteraient dans une seule et même borne. Des solutions techniques existent déjà…

 

Japon - Les constructeurs veulent déployer 12 000 bornes de charge supplémentaires.

Posté le 01/08/2013 à 06:00 par Michaël TORREGROSSA 

 

A ce jour, le Japon compte 1 700 bornes de charge rapide déployées sur le territoire.

 

Au Japon, Honda, Nissan, Toyota et Mitsubishi viennent d’annoncer leur coopération pour installer de nouveaux points de charge destinés à accélérer le développement des voitures électriques dans le pays.

 

Au total, les quatre partenaires envisagent de déployer 4 000 bornes rapides et 8 000 bornes classiques supplémentaires dans le pays.

 

A ce jour, le Japon compte 1 700 bornes de charge rapide auxquelles s’ajoutent 3 000 bornes classiques. Un maillage estimé insuffisant par les constructeurs qui jugent "crucial de développer rapidement des infrastructures pour promouvoir l'usage des véhicules utilisant l'électricité".

 

770 MILLIONS D’EUROS D’AIDES GOUVERNEMENTALES

 

Souhaitant également développer l’électro-mobilité sur son territoire, le gouvernement japonais a prévu de soutenir ce déploiement en débloquant une enveloppe budgétaire de 100 milliards de yens (770 millions d'euros) sur l’année fiscale en cours.

 

D’ici 2020, les autorités japonaises espèrent que les véhicules électriques et hybrides rechargeables représenteront 15 à 20 % des ventes dans l’archipel. A ce jour, c’est la Nissan Leaf qui est le modèle électrique le plus vendu dans le pays avec près de 30 000 exemplaires écoulés. 

 

http://www.avem.fr/actualite-japon-les-constructeurs-veulent-deployer-12-000-bornes-de-charge-supplementaires-4305.html

Des outils malins pour réduire sa consommation électrique.

Le Figaro le 12/07/2013 à 07:08

 

A l'heure où les tarifs sont à la hausse, la PME Avidsen commercialise des systèmes malins pour réduire la consommation électrique.

 

Les hausses de 5%, coup sur coup, des tarifs EDF au 1er août 2013 et en 2014 à peine officialisées, le ministre du Budget, Bernard Cazeneuve, n'a pas démenti les informations du Figaro selon lesquelle une troisième hausse pourrait intervenir en 2015 ! Ainsi, l'électricité en France pour les particuliers aura augmenté, après le 1er août, de 28% depuis 2006, selon un calcul de l'AFP. La Commission de Régulation de l'Energie (CRE), le gendarme du secteur, a par ailleurs estimé à 30% la hausse prévisible du prix de l'électricité entre 2012 et 2017.

 

Face à ces hausses, comment les particuliers peuvent-ils mieux contrôler leur consommation ?

 

Quelques outils simples peuvent les y aider, comme ceux proposés par la PME Avidsen, basée à Chambray-Lès-Tours (37), qui conçoit, développe et commercialise des systèmes électroniques et numériques innovants pour la maison connectée.

 

"Lorsque vous êtes au volant d'une voiture, sans compteur de vitesse, comment voulez-vous connaître et adapter votre allure ? De même, pour notre consommation d'électricité. Il suffit simplement de voir en temps réel nos dépenses afin de les comprendre, de les optimiser et même de les réduire de 20%", affirme Alexandre Chaverot, président d'Advisen.

 

La PME, qui emploie 80 personnes en Europe, a ainsi développé plusieurs outils malins pour réduire sa consommation électrique.

 

•le «SPARA», un indicateur de consommation d'électricité (99 euros). Grâce à un capteur sans fil, relié à un émetteur, placé simplement autour de la phase du compteur électrique, il est possible de savoir en temps réel quelle est la quantité d'énergie consommée par un foyer et la valeur financière équivalente. Le consommateur peut se déplacer facilement dans sa maison avec le moniteur sans fil, pour allumer et éteindre des appareils électroménagers et constater du coup les variations de consommations électriques.

 

• une gamme de calculateurs d'énergie (à partir de 19,90€). Simple ou multiprise, ces calculateurs permettent de mesurer et de visualiser sur leur petit écran LCD la puissance en temps réel, la consommation, le ratio et le coût d'utilisation d'un ou plusieurs appareils électriques.

 

• des multiprises qui pensent à couper la veille des appareils comme la TV (24,90 €), le Home Cinéma (29,90€), l'ordinateur (29,90€)... à votre place, permettant ainsi d'éviter toute dépense d'énergie inutile. Selon le baromètre AFP-Powermetrix, les télévisions, consoles de jeu, ordinateurs... mis en veille représentent près de 11% de la facture d'électricité, soit 86 euros par foyer. «Cela correspond à 7 ou 8 ampoules de nouvelle génération laissées allumées 365 jours par an et 24 heures sur 24! Au total, le coût de cette consommation passive représente quelque 2300 mégawatts, soit 2 milliards d'euros par an, plus que la production de deux réacteurs nucléaires d'EDF!» affirme Avidsen.

 

• Une box domotique, la Thombox (299 euros TTC), pour réaliser des économies d'électricité mais aussi de gaz, d'eau, etc... Avidsen, qui détient la licence exclusive en Europe de la marque Thomson pour les outils de vidéo surveillance, alarme, domotique a mis au point la gamme T Connect THOMSON pour la maison connectée. Le système est composé d'une box, la Thombox, et d'une trentaine d'objets connectés pour faire des économies d'énergie et alléger ainsi les factures. La Thombox se couple avec la box Internet du foyer et se connecte ainsi avec l'éclairage, la motorisation des volets, l'alarme, la climatisation, l'arrosage automatique, l'interphone à l'entrée etc.

 

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http://www.boursorama.com/actualites/des-outils-malins-pour-reduire-sa-consommation-electrique-a627878bcb8e4cd41c440d4b703d5f50

L'approvisionnement en électricité est menacé !

L'Union française de l'électricité met en garde : l'industrie de l'électricité est en danger. La cause : l'incohérence des politiques énergétiques et climatiques, tant au niveau européen que national. 

 

Ce matin, l'UFE a présenté la nouvelle version de l'Observatoire de l'Industrie Electrique. Le site, qui propose notamment une compilation des données majeures du secteur électrique, est une plateforme d'informations pour analyser et expliquer le rôle de l'électricité dans l'économie et la société. A l'occasion de cette présentation, l'UFE a exposé les menaces qui pèsent de plus en plus fortement sur le secteur, à la fois au niveau Européen et en France...

 

De quoi souffre exactement le secteur électrique aujourd'hui ? Essentiellement de l'incohérence des politiques climatiques et énergétiques entre elles, que ce soit au niveau européen ou à l'échelon national. Au-delà des conséquences sur la situation économique des utilities électriques en Europe, le risque est désormais de voir la sécurité même du système électrique remise en cause. En effet, en quelques années, les parcs de production ont considérablement évolué. Les énergies renouvelables se sont fortement développées, mais sans corrélation réelle avec la demande en électricité. De fait, celle-ci, sous le double effet de la crise économique qui sévit partout et des mesures d'efficacité énergétique, a nettement marqué le pas, générant des surcapacités dans les moyens de production. Par un effet de domino, les prix de gros sur le marché de l'électricité se sont effondrés, le coût du soutien aux renouvelables s'est, lui, accru, tandis que les actifs "classiques" (CCG, TAC...) voient leur rentabilité réduite à presque rien.

 

Climat, compétitivité, sécurité d'approvisionnement

 

Que ce soit au niveau Européen ou au niveau de la France, il faut donc - urgemment - rectifier le tir, sous peine de voir cet engrenage devenir fatal à la sécurité d'approvisionnement. Cette dernière doit, en effet, revenir au centre de toute politique énergétique, avec la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre et la défense de la compétitivité industrielle. C'est pourquoi il est indispensable de fixer un objectif unique en matière de CO2, avec un marché du carbone efficient qui transmette un vrai signal prix incitant les industriels à investir dans des moyens peu émetteurs. De même, le marché de l'électricité doit être repensé pour intégrer une vision de sécurisation à long terme des moyens de production, en particulier compte tenu du développement des sources intermittentes.

 

L'enjeu de la consommation

 

Afin de respecter nos engagements sur le plan climatique, il nous faut mener, en parallèle, deux types de démarches de fond. D'une part, réduire notre dépendance énergétique au pétrole et pour ce faire, encourager les transferts d'usages du chauffage au fioul et des transports essence/diesel vers l'électricité, le gaz et la biomasse. D'autre part, cibler prioritairement les actions d'efficacité énergétique à temps de retour raisonnable. Mais transferts d'usages et efficacité énergétique ne permettront, au mieux, qu'une stabilisation de la demande d'énergie. En effet, à la différence de l'Allemagne dont la population décroît, celle de la France va continuer d'augmenter (probablement de l'ordre de 15 à 20% d'ici 2050 selon les sources INSEE et Destatis) générant de nouveaux besoins et le maintien d'une croissance à un niveau relativement élevé pour créer de l'emploi. Ainsi, contrairement à l'Allemagne, la France doit se réindustrialiser massivement. Le secteur industriel français est, en effet, deux fois moins important que chez notre voisin. L'enjeu majeur pour notre pays est donc de se donner une vision réaliste de l'évolution de la demande d'énergie et de comprendre que l'électricité qui aujourd'hui pèse peu dans le mix, doit intervenir fortement dans la recomposition de ce dernier dans la mesure où elle est une énergie essentiellement décarbonée qui, de surcroît, ne pèse pas sur l'équilibre commercial extérieur du pays.

 

http://energie.lexpansion.com/prospective/l-approvisionnement-en-electricite-est-menace-_a-34-7831.html

Qu'est-ce que l'effet Joule ?

 

 

 

 

 

Par effet Joule, on désigne le dégagement de chaleur provoqué par le passage d’un courant électrique dans un matériau conducteur lui opposant une résistance.

 

L’énergie calorifique dégagée (mesurée en joules) peut être valorisée pour :

 

• le chauffage domestique et ses dérivés en exploitant l’échauffement de résistances : radiateurs, fours, plaques de cuisson, etc. ;

 

• l’éclairage dans les ampoules à incandescence(1) en portant le filament à une température supérieure à 2 000°C à laquelle il rayonne un maximum de lumière visible ;

 

• la protection de circuits électriques en y intégrant des fusibles qui fondent ou disjonctent sous l’effet de la chaleur lorsque l’intensité dans les circuits à protéger dépasse le niveau prévu.

 

Pour le transport de l’électricité, l’effet Joule constitue en revanche une perte d’énergie à réduire. A puissance délivrée égale, plus la tension est élevée et l’intensité réduite, plus les pertes en lignes (proportionnelles au carré de l’intensité) sont faibles.

 

D’un point de vue physique, l’effet Joule est principalement dû aux interactions électriques entre les noyaux des atomes d’un matériau conducteur et les électrons libres faiblement liés à ces noyaux. Fixes et chargés positivement, les noyaux atomiques du conducteur freinent les électrons, mobiles et chargés négativement, qui circulent dans le conducteur(2) lorsqu’une tension électrique lui est appliquée.

 

C’est pourquoi l’effet Joule est faible dans certains matériaux comme l’argent et le cuivre qui possèdent de nombreux électrons très peu liés à leurs atomes. Il peut même être négligeable dans des matériaux supraconducteurs dont la résistance est nulle en dessous d’une température dite "critique".

 

L'effet Joule provoqué par le passage d'un courant est proportionnel au carré de l'intensité de ce courant. (©CDE)

 

(1) Qui comportent un gaz noble.

(2) Vers son extrémité positive.

 

http://www.connaissancedesenergies.org/qu-est-ce-que-l-effet-joule-130708

France : le gouvernement promet 12 milliards d'euros pour les investissements.

Jean-Marc Ayrault a dévoilé mardi un plan d'investissements pour les dix ans à venir qui recycle nombre de chantiers déjà engagés, mais sera doté d'une enveloppe de 12 milliards d'euros et conditionné à des critères écologiques pour amadouer les partenaires Verts de la majorité.

 

Alors que des voix ne cessent de s'élever dans la majorité pour réclamer moins de rigueur, le gouvernement veut ainsi montrer que la réduction du déficit ne constitue pas le seul horizon. "L'investissement public doit être ciblé, réfléchi, rigoureux", a résumé le chef du gouvernement à l'université Jussieu à Paris.

 

Ce plan d'investissements, demandé le 6 mai par François Hollande pour lancer l'an II du quinquennat, sera ainsi doté de 12 milliards d'euros pour les dix années qui viennent, a annoncé M. Ayrault.

Le Premier ministre a souhaité "placer ce programme sous le double emblème de la compétitivité et de la transition écologique", selon son entourage.

 

Parmi ces douze milliards, "la moitié" sera "consacrée" directement ou indirectement "à la transition écologique", a promis Jean-Marc Ayrault.

 

Jean-Marc Ayrault a ainsi annoncé la généralisation d'ici 2020 du compteur électrique intelligent "Linky" qui permet notamment des économies d'énergie et des relevés à distance.

 

Un appel d'offres sera lancé cet été pour installer 3 millions de ces compteurs d'ici à 2016, avant le remplacement de la totalité des 35 millions de compteurs actuels d'ici 2020.

 

Le coût de cette généralisation, environ 5 milliards d'euros, devrait être pris en charge par EDF. …

 

http://www.boursorama.com/actualites/france-le-gouvernement-promet-12-milliards-pour-les-investissements-b7da5b4898c87c0139b59b3e12947c8e

Equilibre électrique : la crise offre une année de répit.

Compte tenu de la croissance nulle de 2012 et probablement de 2013, RTE n'anticipe pas de problème d'équilibre avant 2016. Au delà, les marges de sécurité s'amenuisent mais l'équilibre devrait rester de mise, sauf événement exceptionnel.

 

"Je n'ai pas de scoop à vous annoncer." C'est en ces termes que Dominique Maillard, président du directoire de RTE, a introduit ce mardi 9 juillet la présentation du bilan prévisionnel à cinq ans de l'équilibre offre-demande de l'électricité en France. Pas de scoop, certes, mais une évolution des prévisions par rapport au bilan présenté il y a un an.

En septembre 2012, l'opérateur du réseau public français de transport d'électricité à haute et très haute tension estimait que la sécurité de l'alimentation électrique était assurée jusqu'en 2015 et que la situation serait plus tendue à partir de 2017. Cette année, le constat est similaire, si ce n'est que la marge de sécurité se réduira à partir de 2016 et non plus 2015.

La crise économique se prolonge

En cause ? La crise économique qui "pèse sur l'évolution de la demande", explique RTE. L'entreprise anticipe une croissance de la consommation brute de 2,1% en 2012 par rapport à 2011, soit une stabilité en consommation corrigée des variations saisonnières (en particulier de la vague de froid de février 2012) si l'on intègre la stabilité des besoins pour l'enrichissement de l'uranium.

Compte tenu d'"une conjoncture dégradée et des perspectives économiques de court terme incertaines", RTE a révisé ses prévisions de croissance économique. Ainsi, en 2013, le scénario de référence actualisé anticipe une croissance nulle, soit la prévision correspondant au scénario bas de 2012. L'an dernier, la prévision de référence pour 2013 était de l'ordre de 1%.

Une telle révision entraîne un décalage dans le temps d'environ 2 ans des prévisions précédentes. Bilan, RTE considère que la demande sera réduite de 7 térawattheures (TWh) à l'horizon 2017, par rapport à sa prévision précédente. De même, l'opérateur du réseau de transport électrique juge que les besoins de puissance n'apparaitront qu'en cas de relance économique, car si les marges se réduisent à partir de 2016, RTE n'anticipe pas de défaillance en 2017 et 2018 dans son scénario de référence.

Plus précisément, c'est la consommation des industriels qui pâtit de la crise. Alors que l'an dernier RTE anticipait un retour au niveau de 2011 pour 2017 ou 2018, cette prévision n'est plus d'actualité. Pire, le niveau de 2012, en baisse par rapport à 2011, devrait tout juste être retrouvé en 2018… Du côté des ménages, la croissance de la consommation se poursuit mais à un rythme moindre, compte tenu de la réduction des nouvelles installations de chauffage électrique.

Les EnR progressent et le thermique décline

Du côté de la progression des capacités de production, RTE évoque l'installation de quelque 800 mégawatts par an entre 2014 et 2018, ceci pour l'éolien comme pour le photovoltaïque.

S'agissant de l'éolien, RTE qualifie de "dynamique" la croissance du parc, même si les prévisions d'installation à l'horizon 2018 restent inférieures à l'objectif fixé dans le cadre du plan de marche français construit pour atteindre l'objectif de 23% d'énergies renouvelables dans le mix de 2020. Par contre, l'objectif 2020 calculé à partir des schémas régionaux du climat, de l'air et de l'énergie (SRCAE) est de l'ordre de 30 GW, contre un peu moins de 20 GW pour l'objectif national. Mais, pour matérialiser les 30 GW annoncé dans les SRCAE, "il faudrait une hausse très sensible des installations constatées ces dernières années", prévient Dominique Maillard.

Pour le solaire, le constat est différent puisque l'objectif national pour 2020 pourrait être atteint dès 2014. Quant à l'objectif SRCAE, il se situe à environ 14 GW, quand le plan national fixait un objectif à 5,4 GW installés en 2020.

Les moyens de production thermique devraient pour leur part être impactés avec l'entrée en vigueur de normes environnementales plus strictes au 31 décembre 2015. RTE anticipe donc la fermeture de centrales au fioul ou au charbon d'ici là, pour un total de plus de 7 GW de capacité. A l'inverse, deux unités "cycle combiné gaz" devraient ouvrir en 2015 et 2017 si les conditions de rentabilité, aujourd'hui précaires, ne se dégradent pas. La fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim (Haut-Rhin) en 2016 devrait être compensée par le couplage au réseau de l'EPR de Flamanville (Manche) à la fin de cette même année.

Enfin, les capacités d'effacement tarifaire, tels que le tarif Tempo, devraient progressivement disparaître, passant d'environ 2 GW de capacité en 2012 à un peu plus de 750 mégawatts (MW) en 2018. Cette baisse devrait être compensée avec l'apparition de l'effacement de marché qui atteindra plus de 1,5 GW en 2018, contre moins de 500 MW aujourd'hui.

Philippe Collet © Tous droits réservés Actu-Environnement
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Charge rapide – ABB va fournir 200 bornes aux Pays-Bas.

Le groupe ABB vient de remporter un important contrat aux Pays-Bas pour la fourniture de 200 bornes de charge rapide.

ABB a décroché le contrat auprès de Fastned, l’opérateur mandaté par le gouvernement pour construire le plus gros réseau d’infrastructures de charge rapide du pays. Objectif : mettre à disposition des bornes de charge rapide tous les 50 kilomètres, principalement le long des axes autoroutiers.

Aux Pays-Bas, le plan de déploiement de bornes rapides avait été annoncé en décembre 2011 par le gouvernement néerlandais avec un objectif initial de 245 bornes. Au final, c’est l’opérateur Fastned qui a remporté la gestion de ce réseau avec 201 bornes. 

PREMIERS DÉPLOIEMENTS EN SEPTEMBRE 2013.

Multistandards, ces bornes rapides seront capables de délivrer 50 kW de puissance et permettront aux véhicules électriques de se recharger en 15 à 30 minutes. 

Le premier chargeur sera installé durant le mois de septembre et les installations se poursuivront jusqu’en 2015.

Électricité : deux hausses des prix de 5% cet été et en 2014.

Le verdict est tombé. Les prix de l'électricité vont augmenter de 5% en août et de 5% supplémentaires à l'été 2014. L'annonce a été faite hier soir par le nouveau ministre de l'Écologie et de l'Energie, Philippe Martin, via un communiqué envoyé à l'Agence France Presse. Pour sa première décision, le successeur de Delphine Batho a eu la main lourde: la hausse de 5% des tarifs EDF correspond à une augmentation de la facture de 35% en moyenne cette année. Et de 50 euros si le ménage se chauffe à l'électricité.

 

Ces hausses sont, il est vrai, moins importantes que celle préconisées par la Commission de régulation de l'énergie (CRE), qui avait recommandé le mois dernier uneaugmentation de 6,8% à 9,6% des tarifs au 1er août de cette année, plus un rattrapage de 7,6% pour combler les hausses insuffisantes des années précédentes. Ce à quoi le gouvernement avait opposé une fin de non recevoir. Mais sous la menace d'éventuels recours en justice d'EDF et plus probablement de ses concurrents, une hausse significative apparaissait inéluctable. La France reste toutefois parmi les pays les moins chers par rapport à ses voisins européens.

Record depuis 10 ans

 

Malgré tout, cette annonce signe la plus forte progression des tarifs de l'électricité depuis dix ans et contraste donc avec les évolutions précédentes. Après s'être stabilisés en 2004 et en 2005, les tarifs n'avaient augmenté que dans des proportions limitées, comprises entre 1,1% et 3%. En sept ans, le prix de l'électricité a augmenté d'un peu plus de 14%, selon les chiffres de la CRE. «Le gouvernement a décidé de lisser, sur plusieurs années, les hausses de tarifs nécessaires à la couverture des coûts d'EDF, prévue par la loi, afin de protéger autant que possible le pouvoir d'achat des ménages», a déclaré le nouveau ministre de l'Énergie Philippe Martin.

Ces doubles hausses de 5% seront toutefois insuffisantes. La CRE a d'ores et déjà averti que les prix de l'électricité devraient s'envoler de 30% entre 2012 et 2017 afin de couvrir la progression des charges d'EDF et ses dépenses pour renforcer la sûreté du parc nucléaire hexagonal.

 

http://www.lefigaro.fr/conso/2013/07/09/05007-20130709ARTFIG00232-electricite-la-facture-va-augm

 

Extraits : ..."pour limiter la note, le gouvernement a également décidé d'un geste envers les petits consommateurs en révisant à la baisse le coût des abonnements de faible puissance (3 kVa et 6kVa) auxquels souscrivent une majorité de Français.

 

Depuis 2006, après deux années de prix inchangés en 2004 et 2005, le tarif réglementé de l'électricité a certes augmenté chaque année, mais dans des proportions comprises entre 1,1% et 3%. Au total, en sept ans, le tarif de l'électricité a augmenté de 14,1%, selon les chiffres de la CRE, soit bien moins que ce qui était nécessaire.

Selon les calculs de la CRE, le tarif bleu d'EDF, destiné aux particuliers devait ainsi augmenter cet été de 6,8% à 9,6% --selon que la prolongation du parc nucléaire d'EDF est prise ou non comme hypothèse comptable-- puis d'environ 3,2% en 2014 comme en 2015.

 

De plus, il fallait rajouter à ces hausses un rattrapage de 7,6% afin de compenser la hausse nettement insuffisante de ce même tarif les années précédentes.

 

Les hausses de deux fois 5% annoncées lundi ne seront toutefois pas suffisantes. La CRE a à de nombreuses reprises averti d'une hausse prévisible de 30% des prix de l'électricité entre 2012 et 2017."

 

http://www.boursorama.com/actualites/electricite-deux-hausses-de-5-en-ao-t-2013-et-2014-7542b2c112d46f850bb6db7779234365

Énergie : les Français ont encore des efforts à faire pour faire des économies.

(Relaxnews) - Éteindre la lumière, ne pas faire couler l'eau inutilement... Les Français ont bien intégré les gestes du quotidien pour préserver l'environnement. Mais, une étude de Veolia Habitat Services rapporte ce vendredi 5 juillet que d'autres habitudes permettraient de réaliser davantage d'économie d'énergie. Les Français ont encore du chemin à faire.

Selon Veolia Habitat Services, tous les Français pourraient réussir à faire des économies s'ils adoptaient de nouveaux gestes en faveur de l'environnement. Par exemple, 44% des personnes interrogées par cette étude avouent ne pas régler la température de l'eau. Pourtant, au-delà de 20°C, chaque degré de plus coûte en moyenne 7% sur la facture de chauffage, dit Veolia.

De même, 42% de Français n'utilisent toujours pas d'ampoules LED, alors que ces équipements basse consommation utilisent quatre à cinq fois moins d'électricité.

Les gestes du quotidien aujourd'hui bien ancrés dans les habitudes consistent à éteindre les lumières à chaque fois qu'une pièce est laissée vide, pour 92% de sondés. Et, 85% pensent à couper l'eau pour ne pas l'utiliser inutilement, lors du brossage des dents par exemple.

Des investissements difficiles à engager

Faire des économies d'énergie, les Français sont pour. Mais, de là à changer d'équipement pour mettre à bien cet objectif, il y a tout un monde. Seuls 28% de Français ont ainsi investi dans une chaudière à condensation, tandis qu'ils n'ont que 6% à avoir opté pour une pompe à chaleur ou 1% à avoir un chauffage combiné solaire.

Les Français ne sont pas réticents à l'idée de changer leurs habitudes, tant que cela n'impacte pas leur porte-monnaie. Seuls 12% de consommateurs envisagent de remplacer leur chaudière d'ici 2015. Pourtant, 30% de personnes interrogées possèdent une installation de chauffage de plus de dix ans et 25% n'ont aucune idée de l'âge de leur équipement.

Pour limiter les dépenses d'énergie, les Français préfèrent utiliser une horloge de programmation ou un thermostat d'ambiance (54%). Sinon, ils surveillent la température des pièces (50,3%).

Cette étude a été réalisée du 22 mars au 6 mai 2013.

© 2013 www.relaxnews.com

Feu vert pour le compteur électrique intelligent Linky.

Le gouvernement doit donner mardi le feu vert au déploiement de Linky, ce compteur communiquant qui permet de connaître sa consommation électrique en temps réel. Le projet est piloté par EDF.

 

L'avenir du compteur électrique intelligent Linky s'éclaircit enfin. Après une expérience test en 2010-2011 auprès de 270.000 foyers, le projet initié par la Commission de régulation de l'énergie (CRE) s'était enlisé. Il doit recevoir ce mardi le feu vert à l'occasion de la présentation du plan d'investissements à dix ans commandé par François Hollande. Piloté par ERDF, la filiale distribution d'EDF, le déploiement de Linky est un chantier industriel de grande envergure, estimé à 4,3 milliards d'euros.

 

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http://www.lefigaro.fr/conso/2013/07/08/05007-20130708ARTFIG00475-feu-vert-pour-le-compteur-electrique-intelligent-linky.php

Rouen – La CREA prévoit d’installer 30 nouvelles bornes de charge.

Pionnière dans le développement du véhicule électrique, la CREA vient de lancer une étude pour l’installation de 30 nouveaux points de recharge électrique sur son territoire d’ici 2014.

Pour la CREA, ce futur déploiement s’inscrit dans le prolongement du projet CREA’VENIR initié en 2011 avec pour objectif de développer le véhicule électrique et les infrastructures de recharge associées. 

Ainsi, en sus des 4 emplacements déjà pourvus (parking du Vieux-Marché, de l’Hôtel-de-Ville, de la Haute-Vieille-Tour et du Mont-Riboudet), la CREA a décidé d’implanter 30 points de recharge supplémentaires d’ici 2013/2014. 

La localisation de ces nouvelles bornes sera définie en partenariat avec ERDF en tenant compte de différents critères : besoins de déplacement des habitants, politique d’aménagement du territoire, réseau public de distribution d’électricité etc...

"Cette collaboration permettra à la CREA de satisfaire les besoins des conducteurs tout en minimisant l’impact environnemental et les coûts de cette opération" précise le communiqué.

 

Bornes de recharge - Vinci Park se connecte avec la carte KiWhi.

Vinci Park vient de sélectionner la carte KiWhi de Green Park Solution pour gérer l’accès à son futur réseau national d’infrastructures de charge.

L’initiative est mise en œuvre en partenariat avec Sodetrel, filiale à 100% d’EDF, qui assure l’installation des bornes Vinci Park. Pour commander une carte KiWhi Pass et créer un compte, il suffit à l’usager de se connecter sur le site dédié,http://vincipark.sodetrel.fr. Une fois reçue, la carte permet d’accéder à l’ensemble des bornes Vinci Park du territoire mais aussi à toutes les bornes installées par Sodetrel, notamment en Alsace, au Havre et à Nice.

Sur le plan technique, les bornes installées dans les parkings Vinci offrent 3 kW de puissance et sont équipées de deux socles de prise, une prise domestique et une prise Type 3, pour permettre une compatibilité optimale avec l’offre actuelle. 

D’un point de vue économique, Vinci Park a choisi de facturer la prestation de charge en sus de celle de stationnement. Comptez 2 € pour la première heure de charge et 1.5 € les heures suivantes. La charge devient gratuite au-delà de la 6ème heure.

Trois parkings équipés

Pour l’heure, trois parkings Vinci en France sont équipés et compatibles avec la carte KiWhi Pass : Paris (4ème arrondissement – Lobau – 2 bornes), Nancy (Charles III – 4 bornes) et Saint Germain en Laye (Château – 3 bornes). 

Vinci Park prévoit d’intensifier ce déploiement dans les mois à venir sans encore préciser d’objectifs et de calendrier.

Vers la création de pôles multimodaux

Au-delà du déploiement d’infrastructures de charge, Vinci Park s’oriente vers la création de véritables pôles multimodaux dans ses parkings.

A Paris, une dizaine de stations Autolib’ ont ainsi été déployées dans les parkings du groupe. Sur certains parkings, Vinci propose également des systèmes de vélos électriques en libre-service. 

Et pour mieux accompagner l’usager dans son parcours, Vinci débute l’installation de bornes interactives qui comparent, en temps réel, l’ensemble de l’offre disponible (tram, bus etc…) et identifient le meilleur parcours en tenant compte du coût et du temps du trajet mais aussi des émissions de CO2 générées…

Pour plus d'information

 

Green Park Solution : Thierry MEIGNAN - 10, allée Louis Vincent - 53000 LAVAL

Tel : 02.43.90.50.00
Mail : contact@greenparksolution.fr       Site : http://www.kiwhipass.fr

Green Park Solution est adhérent de l'AVEM et soutient nos actions.
Accéder à la fiche adhérent de Green Park Solution

Bornes de recharge - La Vendée présente son plan de déploiement.

Le Syndicat d’Energie de la Vendée (SyDEV) vient de révélér son schéma départemental de déploiement d’infrastructures de charge. Avec l’Indre et Loire, la Vendée fait partie des départements précurseurs dans le domaine de l'électromobilité et prévoit l’installation de 349 bornes de charge dans 191 communes d’ici 2016.

Pour le SyDEV, ce schéma départemental est l’aboutissement d’un travail de plusieurs mois qui a nécessité la consultation et la concertation des 282 communes du département… 

"Le schéma Directeur du SyDEV définit de manière raisonnée, cohérente et équilibrée les principes de déploiement des infrastructures de charge. Il résultera de sa mise en œuvre un maillage territorial garantissant la disponibilité d’un point de charge proche à tout utilisateur de VE" précise Jean-Claude Merceron, Sénateur de la Vendée et Président du SyDEV.

Un département propice à l’électromobilité

Avec 83.2 % d’habitants en maisons individuelles et une majorité de déplacements réalisés en voiture avec une moyenne de 16.1 km/trajet, la Vendée est un territoire particulièrement propice au développement de l’électromobilité. 

D’ici 2020, 7 400 à 22 000 véhicules électriques circuleront sur les routes Vendéennes selon les estimations du SyDEV. 

Les choix techniques – Bornes lentes et accélérées

Concernant les bornes, le SyDEV oriente ses choix techniques vers de la charge à la fois lente et accélérée.

Chaque borne sera ainsi équipée d’une prise type E/F pour une recharge lente en mode 1 ou 2 en 2.5 kW maximum et d’une prise type 3 qui permettra à certains VE comme la Zoé de bénéficier d’une charge accélérée en 18 kVa. Les deux roues ne sont pas oubliés et le SyDEV a prévu des prises spécifiques pour la recharge des vélos et scooters électriques.

En outre, ces bornes seront évolutives et pourront, à terme et selon les besoins, augmenter leur puissance à 36 kVa pour permettre deux charges accélérées simultanées. ...

 

http://www.avem.fr/actualite-bornes-de-recharge-la-vendee-presente-son-plan-de-deploiement-4214.html

Energies : enfin des nouvelles encourageantes !

Quelles énergies pour demain ? C’est tout le débat engagé, en France, depuis quelques mois, notamment via le concept de transition énergétique. La réponse est loin d’être évidente car toutes les solutions envisagées présentent des inconvénients : le futur du nucléaire est incertain, le pétrole devient rare, l’extraction gaz de schiste pourrait être dangereuse, la puissance générée par les énergies solaires ou éoliennes serait insuffisante…

Devant un tel tableau, il est difficile de se montrer optimiste pour notre indépendance énergétique dans 10, 20 ou 30 ans.

Pourtant, faute d’avoir tranché sur ces différentes sources d’énergies, des signaux encourageants sont envoyés en faveur d’une gestion optimale des ressources disponibles, via les smart grids. En effet, le Congrès Smart Grids 2013 (SG 2013), qui se tenait à Paris du 4 au 6 juin a confirmé l’engagement résolu du gouvernement et de la filière réseau électrique sur cette voie.

Dans ce domaine, les freins se débloquent et les projets s’accélèrent. A cet égard, la visite de Delphine Batho, ministre en charge de l’énergie, à SG 2013 a été l’occasion de mettre la lumière sur :

• Le projet de postes électriques intelligents, capables de s’ "auto-cicatriser" ;
• La « simplification des procédures d’autorisation pour la construction des infrastructures de réseau » ;
• Un nouveau programme d’investissements d’avenir, comportant 8 projets smart grid ;
• Le lancement de l’appel d’offre du compteur électrique communicant Linky "pierre angulaire de la construction du réseau smart grid en France", avant fin juin ;
• Une décision attendue d’ici 10 jours pour le déploiement de Gazpar, le compteur de gaz smart grid.

Cette profusion de projets et d’avancées technologiques en faveur des réseaux électriques démontre que le savoir-faire français et les techniques pour avancer sur cette question, tout aussi importante que le choix des ressources, sont là.

Ainsi, dans ce domaine, en France, "le défi n’est plus technologique". Néanmoins, des incertitudes sont encore à lever concernant l’acceptabilité sociale, en particulier des compteurs, et le modèle économique de ces technologies à la croisée des industries du numérique et de l’énergie.

 

Grolleau se branche chez Super U.

Le fabricant du Maine-et-Loire continue à décrocher des marchés. Le dernier en date concerne l’enseigne Super U.


Pour l’anecdote, c’est juste à côté du siège de Grolleau, que l’entreprise a installé une première borne en 2011 chez Super U, sur le site de Vihiers. Elle a profité de travaux d’agrandissement et de l’aménagement d’un espace Drive pour proposer ses services. Grolleau se rapproche ensuite de la centrale d’achat nationale basée à Carquefou près de Nantes et fait la démonstration de sa large gamme de produits.

Bonne pioche, puisque, quelques mois plus tard, les responsables de Système U demandent une nouvelle démonstration. Le besoin en bornes de recharge se fait sentir et une consultation nationale finit par être lancée par l’enseigne de distribution. C’est la consécration pour Grolleau qui est retenu comme fournisseur unique de bornes de recharges pour le groupement Système U.

Pour l’emporter, la société a su faire preuve de créativité. Elle a proposé des modifications, notamment au niveau du système de fermeture, afin de renforcer la résistance au vandalisme. Grolleau a proposé également à Système U de peindre ses bornes en aluminium aux couleurs des magasins offrant ainsi un produit recyclable et au goût du jour.

Résultat : deux bornes de recharge Groove by Grolleau sont désormais référencées pour le groupement Système U. Il s’agit de deux bornes de charge normale de 3kW, équipées d’un badge sécurisé RFID et qui permettent de recharger deux véhicules électriques simultanément.

Ce référencement est une belle opportinité, car parmi les 1500 magasins du groupe Système U, 755 sont potentiellement concernés par l’installation de bornes de recharge.

http://www.france-mobilite-electrique.org/grolleau-se-branche-chez-super-u,4710.html

Bornes de recharge & déploiement – La France avance !

A moins d’un an du lancement de la "Mission Hirtzman" et à quelques mois des dernières Assises IRVE, l’AVEM a souhaité faire un nouveau point d’étape sur le déploiement des infrastructures de charge lors d’Innovative City Convention (ICC), à Nice. Le constat est clair : La France avance et le déploiement s’intensifie !

Pour mieux illustrer cet "engouement électromobile", l’AVEM, par la voix de sa Présidente, Isabelle Rivière, a révélé en primeur à ICC une série de cartographies identifiant les principaux projets menés à l’échelle départementale et régionale. L’association a également souhaité mettre en exergue l’effet de levier de l’autopartage à l’échelle métropolitaine et faire un point, avec Nissan, sur le maillage national en bornes de charge rapide. 

"La fusée a démarré !" a déclaré Louis Nègre, Sénateur-Maire de Cagnes-sur-Mer et 1er Vice-Président de la Métropole Nice Côte d’Azur.

 

A l’échelle métropolitaine, l’autopartage électrique constitue un véritable effet de levier pour le déploiement des infrastructures. Nice a été précurseur de cette démarche avec le lancement, en avril 2011, d’AutoBleue qui compte à ce jour une centaine de points de charge accessibles par les véhicules électriques privés. 

"Sur chaque station AutoBleue, nous disposons de cinq places dont deux réservées aux voitures électriques particulières et dotées de bornes de recharge" témoigne Florence Barale, Conseillère à l’innovation de la ville de Nice et conseillère Métropolitaine. La métropole niçoise projette d’ailleurs d’accroitre ce réseau et proposera pas moins de 700 bornes sur son territoire d’ici 2016.

A Paris, Autolib’ suit également le même principe en proposant des services de recharge pour les véhicules tiers tandis que les villes de Lyon et de Bordeaux seront également équipées d’ici la fin de l’année. 

 

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http://www.avem.fr/actualite-bornes-de-recharge-deploiement-la-france-avance-4212.html

Réseaux Electriques Intelligents : 8 lauréats des Programmes d’Investissement d’Avenir, dont TBH Alliance.

L’ADEME vient de dévoiler les huit lauréats du troisième Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI) Réseaux Electriques Intelligents : les projets sélectionnés, innovants et complémentaires, proposent des évolutions dans la gestion de l’équilibre entre production et consommation d’électricité. 

 

Certains se focalisent sur l’amélioration du réseau électrique, d’autres sur des solutions dites "d’aval compteurs", c’est à dire qui s’adressent au consommateur d’électricité. Le projet Alliance TBH (Tableau de Bord de l’Habitat), dont Eco CO2 est le coordinateur, vise à permettre au consommateur de savoir précisément ce qu’il consomme.


En effet, l’ADEME recommande pour la nouvelle génération de compteurs intelligents de prévoir l’affichage des consommations accessibles aux habitants, afin qu’ils puissent ajuster en temps réel leur consommation. C’est dans cet esprit que TBH Alliance, que vous trouverez détaillé sur notre site, va tester plusieurs dispositifs d’affichage auprès d’un panel représentatif de 4 000 consommateurs français. Les résultats de ces tests permettront de définir quels sont les dispositifs les plus simples à utiliser pour les consommateurs et qui permettent le plus d’économies d’énergie.

 

Selon l’ADEME, en effet "donner la possibilité au consommateur final de connaître de manière détaillée l’électricité qu’il dépense, l’aidera à diminuer sa consommation. D’un rôle historiquement passif, le consommateur devient actif: il peut ainsi agir sur sa facture électrique, en consommant moins ou autrement (par exemple en décalé dans le temps, aux périodes de contraintes fortes sur le réseau)."


Dans cette même catégorie "Etudier les solutions qui permettent au consommateur d’électricité de mieux connaître sa consommation électrique et de l’ajuster en temps réel", ont été aussi retenus le projet Smart Electric Lyon (EDF) qui vise à évaluer l’impact d’une sensibilisation des clients par la mise à disposition d’une information détaillée de leur consommation, et le projet MIETeC (Energies Demain), qui va développer un projet informatique centralisé de gestion de l’équilibre de la consommation et de la demande sur la commune de Montdidier (Picardie) et un outil d’animation à destination des consommateurs, pour les aider à mieux maîtriser leur demande en énergie.
Source : ADEME

 

L.A, championne des économies d'énergie.

Los Angeles économise 11 millions de dollars par an après avoir modernisé 4400 feux de circulation et plus de 100.000 éclairages publics, une initiative qui la place en tête des villes en matière d'économies d'énergie, selon un rapport de l'organisation CDP rendu public aujourd'hui. Au total, Los Angeles fait 13 millions de dollars, soit 10 millions d'euros, d'économies par an sur le plan énergétique. 

 

Cette ville de la côte pacifique américaine figure en tête d'un classement de 110 villes du monde entier réalisé par Carbon Disclosure Project (CDP), une organisation non gouvernementale qui lutte pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre. 

 

Derrière Los Angeles, pointent deux autres villes américaines, Washington et Las Vegas (6 millions chacune), et Berlin (4 millions). Viennent ensuite Houston, Atlanta, Toronto, Sao Paulo et Sydney. Ces neuf villes totalisent 40 millions de dollars (30 millions d'euros) d'économies d'énergie par an grâce à leur politique en faveur de l'environnement, selon le CDP.

 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/20/97001-20130620FILWWW00769-lachampionne-des-economies-d-energie.php

Charge rapide – BMW et GM valident la prise DC Combo.

Après une série de tests réalisée avec les principaux fournisseurs d’infrastructures, les ingénieurs de General Motors et de BMW viennent d’approuver la prise DC Combo pour la recharge rapide. Destinée à concurrencer le standard japonais CHAdeMO, cette prise universelle permettra à une voiture électrique de récupérer 80 % d’énergie en seulement 20 minutes.

Le premier véhicule électrique à bénéficier de ce nouveau standard sera la Chevrolet Spark EV qui sera très rapidement suivie par la BMW i3. 

Porté par les industriels allemands et américains, le connecteur Combo avait été révélé il y a un peu plus d’un an lors d’EVS26 à Los Angeles. Particularité de cette prise : intégrer sur une seule et même connectique de la charge lente, en courant alternatif, et de la charge rapide en courant continu.

Reste à présent aux fournisseurs d’infrastructures et aux constructeurs à mailler le territoire…

D’ici là et pour en savoir plus, nous vous invitons à consulter la vidéo ci-dessous :

Avec les "smarts grids", les postes électriques "s’auto-cicatrisent."

Les 2 700 postes électriques des réseaux haute tension et très haute tension que compte la France devraient être progressivement remplacés à partir de 2020.

Le 4 juin à Paris, lors du salon Smart Grids 2013, RTE et ses partenaires ont présenté le projet « Poste électrique intelligent ». Une première mondiale qui préfigurerait le réseau électrique intelligent de demain.
 
Une première mondiale, rien de moins. En tout cas, c’est ainsi que Laurent Schmitt, vice-président stratégie et innovation d'Alstom Grid, a présenté le projet de Postes électriques intelligents, le 4 juin, lors du salon Smart Grids 2013, à Paris. «L’évolution des réseaux de transport d’électricité est indispensable à la réussite de la transition énergétique, car ils doivent accompagner la modification des lieux de production», explique Dominique Maillard, le président de RTE (Réseau de Transport d’Électricité). En effet, si l’objectif de développement massif des énergies renouvelables se concrétise au cours des prochaines années, le réseau électrique français devra s’adapter. «Ce projet de postes électriques intelligents permet, par l’apport de technologies numériques et optiques, d’optimiser les capacités du poste électrique, pièce maîtresse du réseau de transport d’électricité, afin de l’adapter au développement massif des énergies renouvelables, précise-t-on du côté de la filiale d’EDF. L’intelligence embarquée localement dans le poste électrique lui confèrera l’interactivité nécessaire pour compenser l’intermittence des énergies renouvelables.» Coordonné par RTE donc, le projet a pour partenaires Alstom Grid, Schneider Electric, Alcatel-Lucent, ERDF et Neelogy. D’un montant global de 32 millions d’euros, il est financé à hauteur de 9,7 millions par l’Ademe dans le cadre du Programme d’investissements d’avenir.  Mais, il ne s’agit pour l’instant que d’un prototype. «Ce projet s’inscrit dans une perspective de long terme, celle de la transition énergétique, a quant à elle déclaré Delphine Batho, ministre de l’Écologie lors de la présentation du projet. C’est en investissant dans l’efficacité énergétique passive – pour le bâtiment — et active – dans les réseaux — que nous réussirons à remporter ce défi. »
 
Auto-adaption aux conditions climatiques
 
En attendant, l’expérimentation s’appliquera à 2 postes électriques situés dans la Somme, premier département français par sa capacité de production éolienne, et consistera à y intégrer des solutions innovantes de numérisation de contrôle-commande afin de les doter de fonctionnalités avancées. Le projet s’étalera sur une durée de 4 ans. Les premiers essais sur site pourront avoir lieu à l’automne 2015 pour une exploitation en situation réelle dans le système électrique fin 2015. «Le déploiement en France sera progressif à partir de 2020», indique Dominique Maillard. Cela devrait concerner les 2 700 postes des réseaux haute tension et très haute tension que compte la France. «Mais cela pourra être transposable aux postes de distribution», ajoute RTE. C’est d’ailleurs pour cela qu’ERDF est partenaire du projet. Dans le détail, ce poste électrique intelligent est équipé d’une station météo, sera auto-adaptatif aux conditions climatiques, mais également capable, en cas de défaut sur une ligne, d'en faire l'analyse et de rétablir automatiquement et très rapidement le courant si tous les indicateurs sont au vert. «C’est la fonction d'«auto-cicatrisation»», s’enthousiasme Dominique Maillard. «Il bénéficiera en outre de technologies de sécurité et cyber-sécurité renforcées, explique Laurent Schmitt, d’Alstom Grid. Si nous ne sommes pas convaincus de la sûreté du dispositif, nous reviendrons en arrière.» A terme, ce projet pourrait, selon ses contempteurs, constituer «le fer de lance du développement d‘une filière française et européenne d’excellence sur le marché international des smart grids». 
 
FOCUS
L’appel d’offres «Linky» sera lancé d’ici fin juin
Delphine Batho a aussi profité du lancement du Poste électrique intelligent pour rappeler que le gouvernement «souhaitait» bien parvenir au lancement de l’appel d’offres sur Linky– « pierre angulaire du développement des smart grids en France» – «d’ici fin juin». Les services du ministère «y travaillent d’arrache-pied», a-t-elle insisté. D’ailleurs, côté gaz, le projet jumeau Gaspar verra une délibération de la CRE (commission de régulation de l’énergie) mi-juin. En outre, dans la future loi de programmation sur l’énergie, à l’issue du débat sur la transition énergétique, il y aura un volet réseau. «J’ai demandé à la DGEC (direction générale de l’énergie et du climat) et à la DGPR (direction générale de la prévention des risques) de faire des propositions en matière de simplification administrative, afin d’améliorer les procédures pour réaliser les infrastructures.» De quoi ravir Dominique Maillard. Un peu moins les ONG environnementales.

Les Français sont les plus soucieux de leurs dépenses énergétiques.

(Relaxnews) - Près de la moitié (48%) des Français sont préoccupés par leur facture énergétique, révèle une vaste étude menée par OpinionWay pour la Fondation Rexel, en France, au Royaume-Uni, en Allemagne et aux Etats-Unis. La moyenne des répondants se situe à 40%. En matière d'économie d'énergie, les Français sont aussi les plus nombreux à être conscients que changer ses habitudes est primordial pour l'avenir.

Aujourd'hui, les consommateurs ont conscience des enjeux environnementaux liés à l'énergie et sont bel et bien décidés à changer la donne. Les trois-quarts des Français ayant effectué une amélioration dans leur maison disent avoir procédé de la sorte pour réduire leurs facture d'énergie. Une motivation majeure pour entreprendre des mesures d'efficacité énergétique.

D'ailleurs, 33% des consommateurs français ont réalisé des économies en investissant dans des produits éco-performants. Cependant, les tarifs des solutions qui existent aujourd'hui pour maîtriser ses factures sont encore prohibitifs pour certains foyers (60%).

Cela dit, l'effort doit être d'abord individuel. Les consommateurs doivent être les premiers à faire des efforts, estiment aussi bien les Français (32%), que les Britanniques (30%), les Américains (42%) ou les Allemands (34%).

Cette étude a été réalisée du 10 au 23 avril 2013 auprès de 8.021 personnes en France, au Royaume-Uni, en Allemagne et aux Etats-Unis.

© 2013 www.relaxnews.com

http://www.boursorama.com/actualites/les-francais-sont-les-plus-soucieux-de-leurs-depenses-energetiques-88ee747a17177183375569a8b3c8666f

Aubrilam présente sa borne de recharge Bamboo.

Spécialiste du mobilier urbain, Aubrilam étend son offre dans le domaine des infrastructures de charge et vient de révéler sa dernière création : la borne Bamboo.

Fruit de deux années de recherche technique et esthétique, la borne Bamboo a été conçue par Aubrilam en partenariat avec le Groupe Hager, spécialiste de l’installation électrique et de la domotique. 

"Ce travail commun a permis de créer un produit unique de rupture pour les villes et pour ses habitants" précise le communiqué d’Aubrilam qui a également travaillé avec l’Atelier Aa et Studio M.Aurel pour la partie esthétique.

Une borne éco-conçue

Eco-conçue, la borne Bamboo est habillée de bois issu de forêts gérée durablement tandis que les parties en contact avec l’utilisateur ont été conçues dans des matières douces au toucher pour rendre agréables les gestes de recharge.

De même, Bamboo communique avec l’utilisateur grâce à un cœur à LEDS qui permet de signaler sa position mais aussi son fonctionnement.

 

Intelligente, la borne Bamboo intègre le savoir-faire technologique d’Hager et fonctionne de façon simple par l’intermédiaire d’un badge RFID. En option, elle peut-être connectée grâce à l’implantation d’un modem qui facilitera sa gestion à distance par l’opérateur.

Labellisée Z.E. Ready® par Renault, la borne Hager peut-être installée par le réseau d’installateurs partenaires agrée Hager…

Pour en savoir plus, nous vous invitons à visionner la vidéo ci-dessous et à consulter le site dédié : http://www.bornebamboo.fr.

 

La Mayenne prévoit 50 à 60 points de charge d’ici 2015.

En Mayenne, Le Conseil Général et le SDEGM travaillent de concert pour le déploiement de 50 à 60 points de charge d'ici 2015.


Le Conseil Général de la Mayenne et le Syndicat Départemental pour l'Electricité et le Gaz de la Mayenne (SDEGM) travaillent actuellement sur un projet de déploiement d'infrastructures de recharge pour véhicules électriques sur le département. Objectif : entre 50 et 60 points de charge d’ici 2015.

En Mayenne, les perspectives du Plan National « Véhicules Électriques et Hybrides » prévoient 2 300 véhicules électriques en circulation d’ici fin 2015 et 10.500 fin 2020. Un développement qui nécessite la mise en place d’infrastructures de charge adaptées. 

"Nous avons pour l’heure identifié 30 à 40 communes susceptibles d’accueillir ce futur réseau départemental d’infrastructures de charge" précise à l’AVEM la personne en charge du dossier. Un déploiement qui devrait être financé par l’ADEME dans le cadre de l’AMI "déploiement" publié en début d’année. 

"Ces infrastructures impliquent une alimentation électrique de moyenne à forte puissance raccordée sur le réseau de distribution d'électricité, propriété des collectivités. La nécessité de maîtriser les conséquences de ce développement sur la qualité du service et la cohérence de gestion des ouvrages place le SDEGM au premier rang des acteurs du déploiement de ces infrastructures" précise un communiqué publié par le SDEGM.

Un cabinet spécialisé va prochainement être nommé pour travailler sur un déploiement cohérent des bornes en Mayenne qui offriront le choix entre une charge classique ou semi-rapide.

Les premières installations sont prévues pour le 1er semestre 2014. Au total, 50 à 60 points de charge devraient être installés d’ici 2015.

1,2 milliard de personnes sans électricité.

Environ 1,2 milliard d'individus vivent sans électricité et la part des énergies renouvelables dans la consommation mondiale n'a que peu augmenté en vingt ans, selon un rapport publié mardi et co-dirigé par la Banque mondiale (BM) et l'Agence internationale de l'énergie (AIE). "Des progrès modestes ont été enregistrés depuis 1990 sur l'accès à l'électricité (...), sur la hausse de la part des énergies renouvelables et sur l'amélioration de l'efficacité énergétique", indique un communiqué de la Banque mondiale.

Entre 1990 et 2010, le pourcentage des personnes privées d'électricité dans le monde a certes reculé de 24% à 17% mais l'amélioration reste insuffisante notamment en Inde, selon la BM.

Pendant cette période, 1,7 milliard de personnes ont eu pour la première fois accès à l'électricité, soit à peine plus que la croissance de la population mondiale (+1,6 milliard) au cours de ces vingt années, d'après le rapport. "Le rythme de la progression devra doubler pour atteindre l'objectif de 100% d'ici à 2030", souligne la BM.

L'autre objectif fixé par l'ONU en 2011 de doubler la part des énergies renouvelables (éolien, solaire...) d'ici à 2030 semble lui aussi ambitieux. En 2010, cette part s'élevait à 18% contre 16,6% il y a vingt ans, selon le rapport. Les vingt pays qui consomment 80% de l'énergie mondiale - notamment les Etats-Unis et la Chine qui en utilisent 40% à eux seuls - doivent "montrer la voie" et prendre des "mesures décisives" pour porter la part du renouvelable à 36% en 2030, souligne la Banque mondiale.

Nissan et SNCF : première borne de recharge rapide en gare de Bercy.

Mercredi 29 mai a été inauguré une borne de recharge rapide dans le cadre du partenariat entre Nissan et SNCF Auto/Train. C’est en gare de Paris Bercy que Nissan et la SNCF, partenaires depuis décembre 2012, ont inaugurés une borne du constructeur japonais. Cette borne est capable d’accueillir toutes les voitures électriques et comprend les modes "courant continu" et "courant alternatif". Nissan a profité de l’événement pour montrer quelques Leaf nouvelles générations.

1 200 km en voiture électrique avec Auto/Train

L’offre consiste à recharger la voiture électrique, puis l’emmener à la destination du voyageur, la batterie pleine. Avec sa voiture électrique chargée par le personnel SNCF, il sera donc possible d’aller, entre autre, à Bordeaux, Marseille, Lyon ou Nice. Au total, Auto/Train compte une dizaine de destinations en France. Une fois sur place, Nissan affirme que des bornes de recharges sont disponibles dans ces villes. Tout en sachant que la Leaf 2013 aura une autonomie de 199 km, il sera donc possible de parcourir plus de 1 000 km "avec" sa voiture électrique.

La SNCF sort le grand jeu pour allier la voiture électrique au voyage longue distance en train. Un premier voyage est offert aux possesseurs de Nissan Leaf puis 30 % de réduction est accordé sur chaque trajet. Ainsi, les voyages au départ de Paris débutent à 119 euros. Dernier avantage, le rechargement sur la borne Nissan sera gratuit pour les Leaf.

Deux partenaires engagés dans la mobilité électrique

Après la 25 000 ème Leaf livrée aux Etats-Unis, c’est la 10 000 ème qui a été livrée en Europe. Dans le même temps, Nissan a enregistré sa millième Leaf vendue en France. En inaugurant cette borne, Nissan assoit encore un peu plus son programme de déploiement du réseau de recharge rapide. L’objectif est de compter plus de 100 bornes rapides du constructeur japonais en France d’ici fin 2013.

De son côté, la SNCF propose une mobilité 100 % électrique. Chaque année, 70 000 véhicules sont transportés par Auto/Train. Selon EcoTransit, le rejet de près de 130 g de CO2 par voiture est évité grâce à ce programme. Ce partenariat est une occasion en or pour les propriétaires de voitures électriques qui souhaitent voyager en tout électrique.

Auto : 5 000 bornes électriques en France.

Le gouvernement veut relancer le secteur des véhicules électriques, en dotant le pays d'un réseau national de bornes de recharge, avec un maillage à l'image des stations-service, annonce le site des Echos.

Selon le quotidien en ligne qui cite une source proche du dossier, l'Etat réfléchirait à la création "d'un opérateur dans les infrastructures de recharge", capable de gérer un maillage territorial.
Il aurait sous sa responsabilité "environ 5 000" bornes de recharge rapide pouvant recharger un véhicule en 30 minutes.

ERDF apparaît comme "un candidat naturel" pour la gestion de ce réseau, selon Les Echos, mais cette mission pourrait aussi intéresser Bolloré, Veolia, JCDecaux, voire Vinci.

Le montage juridique pourrait ainsi prendre la forme "d'une délégation de service public ou d'un partenariat public-privé, en transposant ce qui se fait pour les hôpitaux ou les prisons" à la recharge des véhicules électriques.

Mais il reste à gérer la question du financement, sachant qu'une borne coûte de 35 000 à 40 000 euros.
L'idée du ministère, selon le site du quotidien économique, est que le projet puisse "être soutenu par les investissements d'avenir", un exercice "complexe", car le véhicule électrique "n'a pas encore démontré son potentiel". Il s'agit également de trouver un modèle économique attractif pour l'opérateur désigné.

Le Havre installe ses premières bornes de recharge - 30 prises d'ici fin 2014.

La borne de recharge installée sur l'avenue Foch, au Havre, permet une recharge accélérée en une heure seulement.


La municipalité du Havre commence le déploiement de bornes de recharge pour véhicules électriques. Les premières installations ont eu lieu sur les parkings couverts de l'hôtel de ville, de Thiers, de Jean-Jacques-Rousseau et des gares. En plein air, c'est l'avenue Foch qui est équipée d’une borne de recharge accélérée permettant une recharge complète en une heure seulement.

Conforme aux recommandations du Livre-Vert, chaque borne est équipée de deux prises : une prise " Type 3" pour les voitures et une prise domestique "classique" destinée en particulier aux deux roues électriques. Chaque borne est associée à deux places de stationnement réservées aux VE et permet donc de recharger jusqu’à deux véhicules simultanément. 

Pour accéder aux bornes, l’utilisateur doit se munir d’un badge délivré gratuitement par la municipalité sur présentation de la carte grise du véhicule. Pour l’heure, l’accès aux bornes est gratuit et le coût se limite à celui du stationnement. 

30 prises d’ici fin 2014

"Cela représente un investissement de 10 000 euros par borne. La Ville, dans le cadre de son Agenda 21, souhaite accompagner l'arrivée des voitures électriques. Les bornes publiques sont là au cas où l'usager aurait besoin d'un chargement en urgence. Les conducteurs de voiture électrique ont besoin, surtout au début, d'être rassurés. Fin 2014, ce sont 30 prises qui seront réparties dans la ville et l'agglomération", indique François Forterre, directeur du service voirie de la mairie du Havre, au quotidien Paris-Normandie.

Le Havre travaille également avec la Communauté d’Agglomération de Rouen (CREA), qui a déjà installé plusieurs bornes, pour mettre en place des bornes à charge rapide ou accélérée dans les stations service de l’axe Le Havre / Rouen. A suivre…

Plus de 10 millions de bornes de recharge dans le monde d’ici 2020.

Selon une étude publiée par IMS Research, une division d’IHS, l’adoption progressive des véhicules électriques et hybrides rechargeables entraînera une forte hausse du nombre de bornes de recharge installées dans le monde. Ainsi, selon l’étude, le nombre de bornes devrait passer de 135.000 en 2011 à 10,7 millions à l’horizon 2020.

« Les ventes de véhicules électriques devraient se poursuivre au même rythme au cours des 10 prochaines années. Compte tenu que les volumes de ventes n’atteignent pas les estimations réalisées en 2009, il est clair qu'il faut mettre des infrastructures de recharge en place pour soutenir ce changement dans la mobilité », explique Alastair Hayfield, Directeur Associé chez IMS Research et auteur du rapport.

Pour IHS, le développement des infrastructures de charge publique doit également permettre de rassurer le consommateur quant à la « peur de la panne » qui, avec le prix d’achat, fait partie des principaux freins à l’acquisition d’une voiture électrique.

Les conclusions de l’étude indiquent que la plus forte concentration de bornes se situerait aux Etats-Unis, en Chine, au Japon et en Allemagne. « Ces pays ont des constructeurs locaux robustes qui s’engagent dans les véhicules électriques, ils réalisent des investissements dans l’infrastructure de recharge et leurs gouvernements soutiennent la mobilité électrique » précise IHS dans un communiqué. 

Parmi les barrières au développement, le rapport note l’existence de deux standards distincts pour la charge rapide : CHAdeMO et CCS. « L’adoption d’un système universel simplifierait l’implantation d’infrastructures de charge » précise le communiqué d’IMS, ajoutant néanmoins que « cette barrière tend à être levée compte tenu qu’un certain nombre de fabricants de bornes commencent à proposer des produits conformes à ces deux normes ».

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Lire le communiqué

Bornes de recharge – Un schéma de déploiement pour le département du Cher.

La borne de recharge installée sur l'avenue Foch, au Havre, permet une recharge accélérée en une heure seulement.


La municipalité du Havre commence le déploiement de bornes de recharge pour véhicules électriques. Les premières installations ont eu lieu sur les parkings couverts de l'hôtel de ville, de Thiers, de Jean-Jacques-Rousseau et des gares. En plein air, c'est l'avenue Foch qui est équipée d’une borne de recharge accélérée permettant une recharge complète en une heure seulement.

Conforme aux recommandations du Livre-Vert, chaque borne est équipée de deux prises : une prise " Type 3" pour les voitures et une prise domestique "classique" destinée en particulier aux deux roues électriques. Chaque borne est associée à deux places de stationnement réservées aux VE et permet donc de recharger jusqu’à deux véhicules simultanément. 

Pour accéder aux bornes, l’utilisateur doit se munir d’un badge délivré gratuitement par la municipalité sur présentation de la carte grise du véhicule. Pour l’heure, l’accès aux bornes est gratuit et le coût se limite à celui du stationnement. 

30 prises d’ici fin 2014

"Cela représente un investissement de 10.000 euros par borne. La Ville, dans le cadre de son Agenda 21, souhaite accompagner l'arrivée des voitures électriques. Les bornes publiques sont là au cas où l'usager aurait besoin d'un chargement en urgence. Les conducteurs de voiture électrique ont besoin, surtout au début, d'être rassurés. Fin 2014, ce sont 30 prises qui seront réparties dans la ville et l'agglomération", indique François Forterre, directeur du service voirie de la mairie du Havre, au quotidien Paris-Normandie.

Le Havre travaille également avec la Communauté d’Agglomération de Rouen (CREA), qui a déjà installé plusieurs bornes, pour mettre en place des bornes à charge rapide ou accélérée dans les stations service de l’axe Le Havre / Rouen. A suivre…

Charge rapide – Nissan installe 4 nouvelles bornes sur les aires de services AVIA.

Après avoir donné naissance à un véritable corridor énergétique en Alsace, et à un autre de Nantes à Rennes, Nissan poursuit, en partenariat avec DBT-CEV, l’extension de son réseau d’infrastructures de charge rapide à travers la France grâce un nouveau partenariat conclut avec les stations services AVIA pour l’installation de quatre nouvelles bornes.


"Fort d'un réseau de 41 stations-service autoroutières en France, AVIA constituait le partenaire idéal pour compléter un tel maillage" souligne le communiqué de presse du constructeur.


Nissan s'est ainsi engagé à offrir quatre bornes de charge rapide afin de prolonger les équipements existants :


Entre Nice et Aix-en-Provence sur les aires de Rousset et Vidauban (A8)
Entre Lyon et Clermont-Ferrand sur l'aire La Loire (A89)
Entre Besançon et Belfort sur l'aire d'Ecot (A36)


Commercialisées par DBT-CEV, partenaire de Nissan, ces bornes permettent de recharger 80% de la batterie d'un véhicule électrique en 30 minutes et épondent aux deux standards CHAdeMO DC (courant continu) et AC (courant alternatif) permettant ainsi de recharger l'ensemble des véhicules électriques compatibles avec la charge rapide.


L’installation de ces bornes sera prise en charge par AVIA qui offrira également la recharge des véhicules électriques Nissan Leaf durant un an. 


A ce jour, Nissan et DBT-CEV ont installé 42 bornes rapides en France. Fin mai 2013, pas moins de 75 bornes de recharge rapide publiques, offertes par Nissan seront installées et en service.


http://www.avem.fr/actualite-charge-rapide-nissan-installe-4-nouvelles-bornes-sur-les-aires-de-services-avia-4054.html

Hager partenaire de Renault pour promouvoir la mobilité électrique.

Afin de promouvoir le véhicule électrique et les infrastructures de charge associées, Renault et Hager ont organisé des animations communes dans des points de vente en matériel électrique.

 

Au total, près de 900 opérations de démonstration ont ainsi été réalisées à travers la France avec pour objectifs de faire essayer le véhicule électrique et les bornes de charge aux clients installateurs électriciens.


Au-delà de ces animations, Hager s’est également associé avec Renault pour promouvoir et développer deux labels, EV et ZE READY 1.2, et proposer aux installateurs une formation spécifique. Celle-ci leur permettra d’obtenir la labellisation nécessaire à l’installation de bornes de charge conformes aux exigences normatives. 


Plus d'information dans la vidéo ci-dessous :http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=_eLS199qzM0


http://www.avem.fr/actualite-hager-partenaire-de-renault-pour-promouvoir-la-mobilite-electrique-4026.html

Charge rapide multistandards - ABB présente une borne avec 3 connecteurs à eCarTec.

A eCarTec, le spécialiste de l’énergie ABB révèle en avant-première sa nouvelle borne de charge rapide multi-standards capable de recharger l’intégralité des véhicules électriques en circulation marché grâce à ses trois connecteurs de charge.


Ainsi, au-delà des deux connecteurs DC conformes aux standards CHAdeMO (Nissan Leaf, Mitsubishi i-MiEV, C-Zero etc…) et CCS (BMW i3, Chevrolet Spark EV etc…), cette nouvelle borne est équipée d’un troisième connecteur AC spécifiquement dédié à la recharge rapide de la Renault Zoé ZE.


En termes de fonctionnalités, elle est équipée d’un écran tactile 8 pouces et est accessible via un simple badge RFID. Pour le paiement, différents systèmes de paiement sont disponibles dont un service dématérialisé par Smartphone.


S’adressant principalement aux aires de stations-service, cette nouvelle borne sera disponible d’ici la fin de l’année. 


Site : http://www.abb.fr
http://www.avem.fr/actualite-charge-rapide-multistandards-abb-presente-une-borne-avec-3-connecteurs-a-ecartec-4045.html

Le débat sur l'énergie s'attèle à la baisse de la consommation.

La France ne pourra pas échapper à une réduction par deux de sa consommation d'énergie d'ici à 2050: l'idée a dominé les échanges jeudi du débat sur la transition énergétique qui, à mi-parcours, parlait enfin chiffres et mesures concrètes, aiguisant les oppositions.


Cette trajectoire "est le point central, la mère de toutes les batailles", a déclaré à l'AFP Laurence Tubiana, grande ordonnatrice du débat qui doit formuler des recommandations au gouvernement en vue d'une loi à l'automne.


L'objectif est de rendre la France moins dépendante des énergies fossiles, pour notamment respecter ses engagements en matière de lutte contre le changement climatique, et du nucléaire comme l'a promis François Hollande.


Pour sa sixième réunion, le "Parlement" du débat, qui rassemble à Paris une centaine de représentants des parties prenantes (Etat, élus, syndicats, ONG, consommateurs...), a travaillé sur les premiers documents issus des groupes de travail.


Et une idée a dominé : selon le comité desexperts, pour atteindre l'objectif de division par quatre des émissions de gaz à effet de serre en 2050, il faudrait se diriger vers une réduction par deux de la consommation d'énergie, soit moins 1,7% par an.


Des économies qui, selon les scénarios étudiés, seraient essentiellement réalisées dans le logement, grâce à la rénovation, et les transports, avec un vrai parc de voitures électriques ou encore une limitation de l'étalement urbain.


La rénovation thermique des logements "se justifie aussi par la lutte contre la précarité énergétique qui ne cesse d'augmenter", a justifié Alain Grandjean, président du Comité des experts.


"On ne peut pas augmenter et même stabiliser la consommation d'énergie et, dans le même temps, réduire les émissions de gaz à effet de serre de façon importante", a assuré, de son côté, Laurence Tubiana, qui a reconnu que cette question serait âprement discutée jusqu'à la fin du débat prévue à l'été.
"On est au coeur" des discussions, a-t-elle souligné. "Les gens posent leur ligne rouge et après on discute".


Dossiers épineux


Des crispations sont apparues aussi sur des mesures très concrètes telle que la possibilité d'obliger les particuliers à rénover leur logement. "Ce n'est pas la bonne solution quand il y a déjà un problème de pouvoir d'achat", a réagi Jacky Chorin, représentant de Force ouvrière.


Sans surprise, après une première offensive la veille de la patronne du Medef, Laurence Parisot, un groupe de 130 entreprises de l'énergie a remis sur le devant de la scène les dossiers épineux du nucléaire et du gaz de schiste.


Il ne faut pas "déstabiliser les filières matures de production d'énergie qui jouent un rôle pivot pour la transition énergétique", a déclaré François Michel, président du "groupe de contact entreprises", plaidant pour une "prolongation durable" du parc nucléaire existant.


Au nom de la "compétitivité", le groupe appelle aussi à "évaluer le potentiel des gaz de schiste et les modalités possibles de leur exploitation dans des conditions respectueuses de l'environnement".


"Mirages", a répondu le porte-parole de la Fondation Nicolas Hulot, Mathieu Orphelin, selon qui il s'agit plus "de la continuation du modèle actuel que d'une transition".


M. Hollande s'est engagé à réduire la part du nucléaire dans la production d'électricité de 75% à 50% en 2025, et de fermer la doyenne des centrales, Fessenheim, d'ici 2017.


Ce débat technique, qui à terme aura une influence directe sur la vie des Français, fera l'objet d'une consultation des citoyens inédite le 25 mai. Un panel de 1 000 à 1 500 personnes, réparties dans 11 régions métropolitaines et 3 départements d'outre-mer, sera interrogé sur sa vision des changements à opérer.


Copyright © 2013 AFP. Tous droits de reproduction et de représentation réservés.


http://www.boursorama.com/actualites/le-debat-sur-l-energie-s-attele-a-la-baisse-de-la-consommation-f12ccd2191649860c562b49282a54dae

La France devrait franchir le cap des 8 000 bornes de charge publiques déployées d’ici fin 2013.

Lors d’un entretien accordé au journal Le Monde,Philippe Hirtzman, chargé de Mission Déploiement des Infrastructures pour Véhicules Electriques et Hybrides Rechargeables auprès des ministres du redressement productif et de l'écologie, a indiqué que le nombre de bornes de recharge déployées sur la voie publique devrait franchir le cap des 8 000 d’ici la fin 2013.



 

Quant aux chiffres actuels, Philippe Hirtzman précise que "5 700 prises publiques sont en service sur 1 500 stations de charge. 4 135 d'entre elles sont issues des services d'auto-partage et sont accessibles au public". 

Le chargé de mission interministériel rappelle également l’accompagnement financier accordé aux collectivités locales souhaitant s’équiper. En effet, le gouvernement a débloqué une enveloppe de 50 millions d’euros dans la cadre du Programme d’Investissement d’Avenir opéré par l’ADEME (voir actualité précédente). "Un peu plus de 4,5 millions d'euros sont engagés à ce jour sur 12 projets" souligne Philippe Hirtzman ajoutant que "le rythme d'engagement devrait s'accélérer dans les mois à venir lorsque les études préalables seront achevées".

 



Le débat "Type 2" / "Type 3" toujours ouvert

 



Philippe Hirtzman revient également sur le récent projet de Directive européenne souhaitant établir la prise "Type 2" en tant que standard européen tandis que la France a choisi de soutenir la prise "Type 3". 

"Il nous paraît étonnant de promouvoir une norme qui est moins satisfaisante en termes de sécurité pour le consommateur et qui ne respecte pas, dans sa définition actuelle, les réglementations de dix Etats membres, dont la France" déclare Philippe Hirtzman dans son entretien, faisant sans doute référence à l’absence d’obturateurs de la prise "Type 2" soutenue par l’industrie allemande. "Les premiers échanges avec la Commission montrent qu'elle avait sous-estimé ces difficultés"…


http://www.avem.fr/actualite-la-france-devrait-franchir-le-cap-des-8-000-bornes-de-charge-publiques-deployees-d-ici-fin-2013-3999.html

Des Piles pour Stocker son Electricité chez soi.

Mercredi, 06 Mars 2013 10:01


La nouvelle tendance pour les particuliers et les PME est de pouvoir consommer l'énergie produite par leurs installations solaires ou de renouvelables. Grâce à de nouvelles batteries, le rêve est déjà une réalité en Allemagne.

 

Ces installations pourraient bientôt franchir les frontières et arriver dès 2014 en Suisse et en France. Actuellement hors de prix, les avancées technologiques modifient la donne. 

Ce changement de consommation n'est pas une bonne nouvelle pour les grands groupes d'électricité qui voient leur business model totalement bouleversé par l'indépendance des particuliers.



 

En Suisse, c'est la maison Leclanché qui planche sur un système de stockage à piles pour les entreprises. Un projet pilote aura lieu avec l'EPFL de Lausanne pour une application industrielle. Plusieurs installations sont déjà en fonction en Allemagne.

 En France, la "BlueBox" de Bolloré est un système de stockage d’électricité déjà proposé aux personnes qui achètent une "bluecar", la voiture utilisée à l’origine pour le système d’autopartage parisien Autolib.

 Grâce à ce système, les particuliers pourront l’acheter, pour recharger leur voiture, mais aussi pour faire une réserve d’énergie chez soi.

 



Une Pile à la maison.



 

Une installation privée coûte encore 10 à 15 000 Euro mais les prix sont à la baisse. De l'autre côté, un tarif de 25 ct d'Euro est nécessaire afin de rentabiliser l'investissement sur une période de 10 ans. C'est chose faite en Allemagne ou ce service fait un tabac.

 Le système permet de stocker l'électricité produite durant la journée et de la consommer quand les habitants sont à la maison (dès 18h00). Ainsi le mix énergétique se compose : 45% d'électricité stockée, 25% d'électricité consommée immédiatement (du solaire au congélateur) et 30% qui vient du réseau électrique standard.

 En France (ou l'électricité est encore trop bon marché), ce service est couplé avec la BlueCar et des batteries LMP (lithium-métal-polymère). Contrairement à celles utilisés par nos amis de Boeing, qui ont causé des incendies dans les 787, elles ne sont pas inflammables. 



 

Une réponse pour les énergies renouvelables.



 

En France, 20 prototypes sont en cours d’expérimentation à Paris et en Bretagne. Une centaine devrait être ajoutée au deuxième semestre, et 1'000 unités en 2014.  En Suisse, où les prix de l'électricité sont également bon marché, les premières piles pour les particuliers devraient également arriver en 2014. Le grand boom est prévu dès 2015. Les prochaines hausses des tarifs de l'électricité permettront la commercialisation de ce système.


http://www.2000watts.org/index.php/energytrend/electricite/899-des-piles-pour-stocker-son-electricite-chez-soi.html

Charge rapide - DBT-CEV s'apprête à installer sa 300ème borne en Europe.

Dans le cadre de son partenariat avec Nissan, DBT-CEV s’apprête à installer, d’ici fin avril, sa 300ème borne de charge rapide CHAdeMO en Europe.



 

"Le mois d’avril est chargé et nous allons installer près de 100 nouvelles bornes de charge rapide à travers l’Europe" nous précise Alexandre Borgoltz, Development Manager chez DBT-CEV. 

Initié en 2012, le partenariat entre DBT-CEV et Nissan vise à mailler le territoire européen de bornes de charge rapide. Disposées à des endroits stratégiques (aires d’autoroute, supermarchés, chaînes de restauration ou d’hôtellerie), ces bornes représentent une véritable vitrine pour les utilisateurs potentiels de véhicules électriques et permettent à ceux qui ont déjà franchi le pas de pouvoir recharger leur VE à 80 % en 30 minutes seulement. 


Une dynamique Européenne


"Sur l'ensemble des 27 pays de l'Union Européenne, 15 ont déjà fait le choix de chargeurs rapides nouvelle génération DBT-CEV. De Milan à Stockholm, de Dublin à Moscou, en passant par Londres et Paris, les conducteurs de véhicules électriques peuvent, grâce à cette infrastructure, recharger 80% de leur batterie en moins de 20 minutes contre 4 à 8 heures actuellement sur les bornes de plus faible puissance " précise le communiqué de la PME Française qui emploi désormais 45 collaborateurs pour ses activités liées aux infrastructures de charge

.

 

Ainsi, depuis ces derniers mois, les exemples se multiplient en Europe. Aux Pays-Bas, c’est la chaîne hôtelière Van der Valk qui a débuté, mi-décembre, l’installation d’une dizaine de chargeurs rapides dans ses établissements tandis qu’en Angleterre une demi-douzaine de stations-service Welcome Break se sont équipées. Plus récemment, en Belgique, la chaîne de supermarchés Delhaize vient de réaliser sa première installation à Bruxelles et prévoit au total une dizaine de bornes réparties dans ses magasins (voir actu précédente).



 

Concernant la France, Nissan et DBT-CEV ont déjà installé plus de 40 bornes de charge rapide et prévoient d’en mettre en place 60 supplémentaires d’ici la fin de l’année. L’initiative francophone la plus emblématique reste le projet Alsace Corridor Energétique avec 6 bornes installées dans les supermarchés Cora permettant aux possesseurs de VE de disposer d’une solution de charge rapide tous les 30 à 50 kilomètres entre Haguenau et Mulhouse.



 

Un site Internet dédié


Afin de mettre en avant ce programme de déploiement européen, DBT-CEV a récemment lancé un minisite dédié, http://www.universal-quick-charger.com, qui permet de consulter les différents points de charge installés par DBT-CEV et de découvrir l’offre complète de chargeurs rapides DBT-CEV disponibles sur le marché.


http://www.avem.fr/actualite-charge-rapide-dbt-cev-s-apprete-a-installer-sa-300-sup-eme-sup-borne-en-europe-4021.html

Nissan et DBT-CEV installent une borne de charge rapide sur l’axe Rennes-Nantes.

Le constructeur automobile Nissan et la société DBT-CEV viennent d’inaugurer une nouvelle borne de recharge installée sur l’axe Rennes – Nantes.

 

Mise en place au sein du magasin U Express de Grand Fougeray (35), à mi-chemin entre Rennes et Nantes, cette borne répond aux deux standards CHAdeMO DC (courant continu) et Standard AC (courant alternatif) permettant ainsi de recharger la Nissan Leaf mais aussi les modèles d'autres marques.

 

C’est la 30ème borne offerte en France par Nissan dans le cadre de son programme européen d’aide au déploiement des infrastructures de charge qui prévoit d’offrir 400 bornes de charge rapide à travers l’Europe (voir news précédente). Intégré à l'espace "station-service" du supermarché, ce dispositif est complété par la mise en place d’une deuxième borne dite "normale" pour des recharges classiques.

 

Cette installation a également bénéficié du soutien de la MEDEFI (Maison de l'Emploi, du DEveloppement, de la Formation et de l'Insertion du Pays de Redon - Bretagne sud) et de la Communauté de Communes du Pays de Grand-Fougeray. "Pour Nissan, ce projet rejoint ce qui a déjà été réalisé en Alsace où 6 chargeurs rapides ont été idéalement positionnés, réalisant un vrai corridor pour les véhicules électriques." précise le communiqué du constructeur.

 

http://www.avem.fr/actualite-nissan-et-dbt-cev-installent-une-borne-de-charge-rapide-sur-l-axe-rennes-nantes-3997.html

Belgique – Nissan et DBT-CEV équipent les magasins Delhaize en bornes de charge rapide.

Ce lundi 25 mars, la chaîne de supermarchés Delhaize a inauguré l’installation de sa première borne de charge rapide dans son magasin de Bruxelles en partenariat avec Nissan et DBT-CEV.

 

Au total, Delhaize prévoit d’installer douze bornes de charge rapide dans ses magasins à travers le territoire. Celles-ci seront intégrées au réseau national "Load to Move" opéré par The New Motion.


 

"Un supermarché constitue un endroit idéal pour placer ces bornes de recharge rapide. Il est généralement facilement accessible depuis les voies de communication et présente un autre avantage : le conducteur peut directement faire ses courses pendant le rechargement de sa voiture" précise le communiqué.



 

Au-delà du raccordement rapide, chaque station sera équipée d’une prise classique destinée aux VE non compatibles avec la charge rapide. L’utilisation aux bornes sera gratuite pour chaque visiteur durant les six premiers mois et, grâce au partenariat conclut entre Delhaize et Nissan, les conducteurs d’une Leaf pourront même recharger leur véhicule gratuitement pendant la première année suivant l’installation de la station. 



 

Pour pouvoir utiliser la borne, le visiteur devra se procurer une carte d’accès via le site Internet de The New Motion. Une carte qui donner également accès à l’ensemble des bornes normales ou rapides opérées par The New Motion à travers la Belgique.

" Avec un réseau de chargeurs rapides en constante expansion reliant les villes, l’appréhension suscitée par le problème de l’autonomie mis en avant par les détracteurs comme un motif suffisant pour ne pas passer à l’électrique, sera bientôt dissipée. Inutile de dire combien nous apprécions l’engagement manifesté par le groupe Delhaize et nous nous réjouissons de notre collaboration future" se félicite Stéphane Chauville, Directeur Général de Nissan Benelux. 

 

Posté le 26/03/2013 à 18:00 par Michaël TORREGROSSA


http://www.avem.fr/actualite-belgique-nissan-et-dbt-cev-equipent-les-magasins-delhaize-en-bornes-de-charge-rapide-3979.html

L'histoire électromobile des Yvelines.

8 mars 2013 par Conseil général des Yvelines, Justin Aschard.


Voici un peu plus de dix ans (presque 15) que le département des Yvelines a commencé a agir et à promouvoir le développement de l’électromobilité. Petit retour sur les événements qui ont conduit à l’électrification de son industrie automobile.


La section "Dans le rétro" publiée sur le site du conseil général des Yvelines affiche les grandes avancées industrielles du département depuis 1887 [1] et notamment dans le domaine de l’automobile auquel le département des Yvelines est intimement lié.


Cette rétrospective, réalisée avec le concours des Archives Départementales des Yvelines, porte aujourd’hui sur l’histoire de l’électromobilité dans le département. Fort de son engagement pour le développement durable, le conseil général a commencé très tôt à soutenir l’acquisition de véhicules propres par les communes de son territoire. Il a encouragé les mutations technologiques d’une industrie automobile fortement implantée, tout en contribuant à préserver la qualité de l’air et à diversifier les ressources énergétiques.


En développant des mesures telles que l’"Aide aux véhicules propres", le Conseil général prolonge aussi son action en faveur de l’environnement avec l’objectif de diminuer les rejets polluants des véhicules pour améliorer la qualité de l’air. Retraçons en quelques lignes l’histoire électromobile.


• 1998 : Inauguration du Technocentre Renault à Guyancourt pour rassembler les compétences et les technologies au cœur de la conception des véhicules Renault.• 2004 : PSA Peugeot Citroën inaugure son nouveau centre de design à Vélizy.• 2006 : Le groupe PSA inaugure dans son centre de Carrières-sous-Poissy, une unité de recherche liée à la pile à combustible.• 2009 : Les grands constructeurs prennent le pas de la mobilité électrique. Ainsi, dans le département des Yvelines, l’usine Renault de Flins s’est vu confié la fabrication de la Renault Zoé ZE, l’un des quatre modèles de la gamme de véhicules 100 % électriques et Zéro Émission de la marque au losange. A la même époque, le Conseil général lance un vaste plan de soutien à la filière automobile.• Octobre 2009 : Lancement du 1er appel à projets pour la réalisation du « Véhicule urbain du futur » par le Conseil général des Yvelines. Sélectionnés parmi plus de 40 dossiers, les trois lauréats – Akka Technologies, Induct et Muses – se partagent une enveloppe de 3 M€ pour développer leurs projets dans les Yvelines. Les démonstrateurs sont présentés en exclusivité au Salon International de l’Automobile de Genève 2011, sur le stand du Conseil général, première et unique collectivité présente en Suisse.• Juillet 2011 : Lancement du 2e appel à projets « Véhicule intelligent – ville du futur ». Le jury est co-présidé par Jean-Marie Duthilleul, architecte-ingénieur et consultant du Grand Paris, et Philippe Aussourd, alors président de l’AVERE (Association pour le développement du transport et de la mobilité électriques).• Janvier 2012 : Le comité de sélection dévoile les noms des quatre lauréats du 2e appel à projets “Véhicule intelligent – ville du futur” : M.I.L., Taxicol, Transy’ves et Link & Go.• Février 2013 : Sortie prévisionnelle de la Renault Zoé à Flins.• Mars 2013 : Présentation au Salon de Genève 2013 des lauréats de l’appel à projet 2011.

A lire également : Link & Go : une autre vision de la voiture de demain
Illustration : © Conseil Général des Yvelines
Plus d'infos : yvelines.frNotes[1] date de la première compétition d’engins mécaniques de France entre Neuilly-sur-Seine et Versailles.


http://www.france-mobilite-electrique.org/l-histoire-electromobile-des-yvelines,4331.html

Bretagne – Lanion-Trégor Agglomération déploie un réseau de bornes de charge.

Au delà de l'installation de bornes de charge, Lanion-Trégor Agglomération a également fait l'acquisition de trois véhicules électriques pour ses services.


En Bretagne, Lanion-Trégor Agglomération souhaite accélérer le développement des véhicules électriques sur son territoire avec la mise en place d’un plan de déploiement d’infrastructures de charge.
Les premières installations sont prévues fin mars et c'est la société DBT-CEV qui fournira les bornes.

Au total, sept bornes de recharge vont ainsi être installées sur le territoire en compléments de celles déjà en place au siège de l’Agglomération et dans ses ateliers. Les quatre premières seront installées dès fin mars sur les parkings de la ville mais aussi dans deux supermarchés qui proposeront un système de charge rapide en complément de la charge classique.

Jusqu’à fin 2014, l’accès à ces bornes sera gratuit pour les particuliers possesseurs d’un véhicule électrique. Pour y accéder, les propriétaires devront présenter la carte grise du véhicule pour se voir remettre un badge d’accès.

« Nous sommes en cohérence avec notre plan de déplacement et notre plan climat énergie territorial »explique Joël Le Jeune, Président de Lanion-Trégor Agglomération. « Les freins au développement des véhicules électriques sont le prix, l’autonomie et le réseau d’infrastructures de charge peu important. Cette expérimentation de déploiement de bornes est une première réponse. »

Au total, l’investissement pour ces bornes s’élève à 234.000 € auxquels il convient d’ajouter le prix d’acquisition de trois véhicules acheté par l’Agglo, soit un coût global de 281.100 €. La région et l’Etat subventionnent le projet à hauteur de 53 %...

Le lancement publicitaire officiel de la ZOE reprend notre eco2ncept de wallbox station service électrique autonome à la maison...

L'Estonie, premier pays à déployer un réseau national de bornes pour véhicules électriques.

La carte du réseau de bornes électriques en Estonie

 

L'Estonie a officiellement inauguré mercredi 20 février son "réseau national de bornes de recharge pour véhicules électriques", une intitiative inédite dans le monde. Toutes les zones ubaines sont équipées et les bornes sont espacées au maximum de 60 kilomètres sur les routes principales. Ces stations permettent une charge rapide en moins de 30 minutes.

L'Estonie a officiellement lancé mercredi 20 février son "réseau national de bornes de recharge pour véhicules électriques".
Le groupe helvético-suédois ABB, qui s'est vu confié par le gouvernement l'installation de 165 stations de recharge à travers le pays, présente cette initiative comme une première mondiale. Les chargeurs fournis par ABB font appel à du courant continu, ce qui permet de recharger son véhicule en moins de trente minutes.

LE RÉSEAU LE PLUS DENSE D'EUROPE
Ces bornes de recharge sont installées dans les zones urbaines de plus de 5 000 habitants et sur les routes principales du pays. Sur autoroutes, les stations sont espacées d'au maximum 60 kilomètres.

Bien qu'un des plus pays d'Europe avec 44 000 km2, soit un douzième de la France, l'Estonie dispose ainsi de la plus forte concentration en bornes de recharge du continent, se félicite ABB.

STIMULER LES VENTES DE VÉHICULES ÉLECTRIQUES
Ce réseau dense de bornes permettant une charge rapide va encourager de plus en plus d'Estoniens à se tourner vers les véhicules électriques, s'est réjoui de son côté le ministre de l'environnement Keit Pentus-Rosimannus.
Le gouvernement local compte également sur son programme de subvention pour stimuler les ventes de voitures électriques, dans un pays où seulement 650 véhicules de ce type seraient actuellement en circulation. Les automobilistes estoniens peuvent ainsi obtenir jusqu'à 18 000 euros d'aide à l'achat, ce qui réduit de plus de moitié le coût d'acquisition d'un véhicule électrique.
Pour un responsable d'ABB, l'ouverture du réseau national en Estonie devrait pousser d'autres pays à déployer davantage de borne. En janvier 2013, la Commission européenne avait indiqué son intention d'obliger les Etats membres de l'Union d'accélérer le développement des carburants propres, électricité en tête. A terme, Bruxelles devrait imposer l'installation de 800 000 bornes d'ici à 2020, dont 97 000 pour la France. A cette date ABB prévoit que 2 millions de véhicules électriques et hybrides circuleront dans l'Hexagone, soit 10 % du parc total des véhicules particuliers contre seulement 0,12% à fin 2011.
Julien Bonnet
Vidéo de présentation des bornes de recharge d'ABB en Estonie

Angleterre - Le gouvernement débloque 43 millions d’euros pour financer les infrastructures de charge.

Afin de développer les infrastructures de charge sur son territoire, le gouvernement britannique vient de débloquer une enveloppe de 37 millions de livres (43 millions d’euros) destinée à financer les installations de bornes de recharge à domicile, en voirie et dans les parkings des gares ferroviaires.

 

Le gouvernement prévoit de couvrir jusqu’à 75 % des coûts d’installation.
 Sont concernés par cette aide :

Les utilisateurs de VE pour les installations à domicile

Les municipalités installant des points de charge rapide ou fournissant des points de charge sur la voie publique à leurs résidents

Les opérateurs ferroviaires

. Cette enveloppe de 37 millions de livres fait partie d’un plan de 400 millions de livres visant à augmenter de façon significative la part de véhicules décarbonés en circulation. Elle est valable jusqu’en avril 2015.

 

http://www.avem.fr/actualite-angleterre-le-gouvernement-debloque-43-millions-d-euros-pour-financer-les-infrastructures-de-charge-3880.html

Linky : un enjeu industriel national de patriotisme écologique.

"Linky est un projet d’intérêt national qui permettra de rendre concrète la transition énergétique pour tous les français", a expliqué Delphine Batho, Ministre de l’Ecologie, dans une récente interview.

 

Au-delà des avantages et bénéfices pour les usagers et la gestion du réseau électrique, le compteur communicant qui doit être déployé à partir de 2014 est, pour la ministre, un  véritable projet de "patriotisme écologique".

 

Elle entend, avec cette formule, désigner  des investissements en faveur des énergies renouvelables et des économies d’énergie qui "sont aussi un moyen de créer des emplois et de développer notre industrie". En effet, avec Linky il est prévu plus de 10 000 créations directes d’emplois d’ici 2020. Cela concerne, en premier lieu, les usines de fabrication des compteurs, qui sont déjà dans les starting-blocks, comme Landis+Gyr à Montluçon  (03) ou Itron à Chasseneuil du Poitou (86).

Ensuite, la filière "Smart Grids" (ou réseaux intelligents), composée de très nombreuses PME, devrait bénéficier, dans son ensemble du déploiement des compteurs. Par exemple, la société Efluid établie à Metz, qui développe un progiciel destiné à équiper Linky, profitera aussi de la généralisation du compeur.

En plus, "La France dispose de champions en matière de réseaux intelligents et de solutions de pilotage, comme Alstom Grid ou Schneider" signale Grégoire Poux-Guillaume, président d’Alstom Grid.

Ainsi, comme l’explique Delphine Batho, "l’installation des 35 millions de compteurs est une opération de déploiement  de grande envergure", qui  créera aussi de l’activité et des emplois dans toute la filière électrique et au service de la transition énergétique.

C’est donc une opportunité économique, écologique et sociale pour la France.

New-York veut booster son réseau de bornes de recharge.

Dans le cadre d’un récent discours, le Maire de New-York, Michael Bloomberg, a annoncé de nouvelles mesures visant à développer la mobilité électrique et notamment le nombre de points de charge disponibles dans la ville.

 

La ville prévoit ainsi l’installation de bornes de charge rapide et étudie la mise en place d’un nouvel amendement visant à imposer au moins 20 % de places équipées ou pré-équipées dans tous les nouveaux espaces de stationnement publics. Une impulsion politique qui devrait permettre la création de 10 000 nouvelles places de stationnement équipées dans les 7 prochaines années.  

 

Côté véhicules, le Maire prévoit d’ajouter 50 véhicules électriques supplémentaires à sa flotte municipale tandis que 6 taxis électriques devraient également entrer en service prochainement. A l’horizon 2020, l’objectif de la ville de New-York est de convertir un tiers de ses taxis au 100% électrique. 

 

http://www.avem.fr/actualite-new-york-veut-booster-son-reseau-de-bornes-de-recharge-3886.html